Le général Sekouba Konaté à Conakry, octobre 2009.
« C’est l’heure de la démocratie… » : sous les applaudissements, c'est un triomphe pour le Général Sékouba Konaté, quand il parle de démocratie devant la colonie guinéenne à Bamako. « En allant dans la démocratie, nous devons aller dans la cohésion ». Pour lui, aujourd’hui en Guinée, voici la priorité des priorités : «Il reste maintenant quatre mois pour aller à des élections transparentes libres ».
Le général Konaté est allé ensuite indirectement dans le débat sur le vote des Guinéens de l’extérieur. « Qu’ils soient Guinéens de l’intérieur, qu’ils soient Guinéens de l’extérieur, nous tous, nous avons les mêmes droits et les mêmes devoirs. », a-t-il déclaré.
A ce stade du processus électoral, il n’est pas prévu que les Guinéens de l’étranger participent au prochain scrutin.
Mais en venant à Bamako, le président de la transition en Guinée vient rendre visite à un aîné qui dirige un pays où la démocratie fonctionne, malgré des couacs.
Il vient aussi parler renforcement de la coopération avec la ministre guinéenne de la Coopération et du Voyage. Et puis on parlera aussi opportunités pour ses produits à l’import et à l’export, car le Mali n’a pas accès à la mer. Les responsables du port autonome de Conakry profitent donc de ce voyage pour lancer une offensive de charme.
Le général Konaté est allé ensuite indirectement dans le débat sur le vote des Guinéens de l’extérieur. « Qu’ils soient Guinéens de l’intérieur, qu’ils soient Guinéens de l’extérieur, nous tous, nous avons les mêmes droits et les mêmes devoirs. », a-t-il déclaré.
A ce stade du processus électoral, il n’est pas prévu que les Guinéens de l’étranger participent au prochain scrutin.
Mais en venant à Bamako, le président de la transition en Guinée vient rendre visite à un aîné qui dirige un pays où la démocratie fonctionne, malgré des couacs.
Il vient aussi parler renforcement de la coopération avec la ministre guinéenne de la Coopération et du Voyage. Et puis on parlera aussi opportunités pour ses produits à l’import et à l’export, car le Mali n’a pas accès à la mer. Les responsables du port autonome de Conakry profitent donc de ce voyage pour lancer une offensive de charme.