La question de la Guinée Conakry préoccupe plus d’un. Après les différentes sorties de membres de la Communauté Internationale, des Partis politiques et de la Société civile, voici que la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) entre dans le jeu. Dans un communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com, cette organisation non gouvernementale a exprimé «sa grave préoccupation par rapport au risque réel d’un nouveau bain de sang en Guinée Conakry comme conséquences directes de la rébellion d’Aboubacar Sidiki Diakhité dit « Toumba » dont la tête est mise à prix».
La RADDHO a estimé que «l’exercice du pouvoir d’Etat par le Conseil National pour la Démocratie et le Développement (CNDD) a entrainé en moins d’un an une série de catastrophes sur tous les plans en Guinée Conakry et a contribué à une sérieuse dégradation de l’image du pays» a-t-elle souligné dans le document avant d’énumérer: «Impasse totale dans la gestion politique, économique et sociale de la Guinée avec comme conséquence le blocage total de la transition, Menace permanente sur la paix et la sécurité des populations civiles avec des atteintes graves et répétées au droit à la vie et à l’intégrité physique, Violations des libertés fondamentales sans compter les vols, les viols et les agressions de toutes natures qui n’épargnent même plus les diplomates: bref le CNDD a consacré la faillite globale de la société, de l’Etat et des Institutions en Guinée. Il faudra du temps pour que la Guinée se relève de cette situation». Ainsi cette organisation appelle «la CEDEAO et la Communauté Internationale à envoyer d’urgence des observateurs militaires pour assurer la sécurité des populations et éviter un nouveau bain de sang. Mais aussi elle a fait savoir qu’«elle se réserve le droit d’appeler à la mobilisation générale tous les démocrates africains (Présidents Africains, Partis politiques, Gouvernements, Société civile) à un grand mouvement d’opinion pour exiger le retour des militaires guinéens dans leurs casernes».
La RADDHO a estimé que «l’exercice du pouvoir d’Etat par le Conseil National pour la Démocratie et le Développement (CNDD) a entrainé en moins d’un an une série de catastrophes sur tous les plans en Guinée Conakry et a contribué à une sérieuse dégradation de l’image du pays» a-t-elle souligné dans le document avant d’énumérer: «Impasse totale dans la gestion politique, économique et sociale de la Guinée avec comme conséquence le blocage total de la transition, Menace permanente sur la paix et la sécurité des populations civiles avec des atteintes graves et répétées au droit à la vie et à l’intégrité physique, Violations des libertés fondamentales sans compter les vols, les viols et les agressions de toutes natures qui n’épargnent même plus les diplomates: bref le CNDD a consacré la faillite globale de la société, de l’Etat et des Institutions en Guinée. Il faudra du temps pour que la Guinée se relève de cette situation». Ainsi cette organisation appelle «la CEDEAO et la Communauté Internationale à envoyer d’urgence des observateurs militaires pour assurer la sécurité des populations et éviter un nouveau bain de sang. Mais aussi elle a fait savoir qu’«elle se réserve le droit d’appeler à la mobilisation générale tous les démocrates africains (Présidents Africains, Partis politiques, Gouvernements, Société civile) à un grand mouvement d’opinion pour exiger le retour des militaires guinéens dans leurs casernes».