Gabriel Nse Obiang Obono a d’abord été empêché de se présenter à l’élection présidentielle. Cet opposant est maintenant empêché de sortir de chez lui.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, son domicile, situé dans le même immeuble que le siège de son parti, a été attaqué par les forces de sécurité. Six personnes qui se trouvaient devant ont été blessées.
Près de 200 personnes autres personnes, dont des femmes et des enfants, qui étaient à l’intérieur, y sont toujours six jours plus tard.
L’opposant Gabriel Nse Obiang Obono estime que le gouvernement cherche à anéantir son parti, les Citoyens pour l’innovation. « Ici l’Etat de droit brille par son absence. On maltraite et l’on pourchasse, partout au pays. Le régime d’Obiang a décidé que notre parti doit être éliminé militairement parce qu’il propose une vraie solution de rechange pour ce pays. »
Le gouvernement reste discret sur l'attaque du domicile de l’opposant. Mais Malabo a confirmé, dans un communiqué, que quelques-uns de ses partisans avaient été arrêtés à Bata, la capitale économique du pays. Ils auraient envahi la piste d’atterrissage de l'aéroport pour accueillir une délégation de leur parti, une version que démentent les Citoyens pour l’innovation.
Source: Rfi.fr
Dans la nuit de jeudi à vendredi, son domicile, situé dans le même immeuble que le siège de son parti, a été attaqué par les forces de sécurité. Six personnes qui se trouvaient devant ont été blessées.
Près de 200 personnes autres personnes, dont des femmes et des enfants, qui étaient à l’intérieur, y sont toujours six jours plus tard.
L’opposant Gabriel Nse Obiang Obono estime que le gouvernement cherche à anéantir son parti, les Citoyens pour l’innovation. « Ici l’Etat de droit brille par son absence. On maltraite et l’on pourchasse, partout au pays. Le régime d’Obiang a décidé que notre parti doit être éliminé militairement parce qu’il propose une vraie solution de rechange pour ce pays. »
Le gouvernement reste discret sur l'attaque du domicile de l’opposant. Mais Malabo a confirmé, dans un communiqué, que quelques-uns de ses partisans avaient été arrêtés à Bata, la capitale économique du pays. Ils auraient envahi la piste d’atterrissage de l'aéroport pour accueillir une délégation de leur parti, une version que démentent les Citoyens pour l’innovation.
Source: Rfi.fr