Sans surprise que le « oui» l'a remporté avec 91,59% des voix contre seulement 8,44% qui ont voté « non » pour cette nouvelle Constitution guinéenne, selon bien sûr les résultats provisoires proclamés par le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), Amadou Salif Kébé. Il a en outre indiqué que le taux de participation était estimé à 61%. Il ne reste plus qu'à la Cour constitutionnelle de confirmer ou infirmer ces résultats provisoires par l'institution en charge des élections en Guinée.
Boycott et violences
L'opposition et une bonne partie de la société civile regroupée au sein du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) avaient appelé au boycott de ce référendum et des élections législatives dont les résultats sont en train, en ce moment même, d'être donnés par Amadou Salif Kébé sur Facebook.
L'appel au boycott pour empêcher ces élections a conduit à des violences entre les opposants et les forces de l'ordre qui ont fait depuis octobre 2019 des dizaines de morts et des centaines de blessés.
Selon le ministre de l'Administration du territoire, Bouréma Condé, des centaines d'urnes et des bureaux de vote ont été saccagés ou incendiés lors du double scrutin législatif et référendaire de dimanche dernier 22 mars en Guinée.
Boycott et violences
L'opposition et une bonne partie de la société civile regroupée au sein du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) avaient appelé au boycott de ce référendum et des élections législatives dont les résultats sont en train, en ce moment même, d'être donnés par Amadou Salif Kébé sur Facebook.
L'appel au boycott pour empêcher ces élections a conduit à des violences entre les opposants et les forces de l'ordre qui ont fait depuis octobre 2019 des dizaines de morts et des centaines de blessés.
Selon le ministre de l'Administration du territoire, Bouréma Condé, des centaines d'urnes et des bureaux de vote ont été saccagés ou incendiés lors du double scrutin législatif et référendaire de dimanche dernier 22 mars en Guinée.