Guy Marius Sagna, membre fondateur du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp–France Dégage), qui faisait face à la presse ce jeudi, après deux semaines de sa sortie de prison, a exprimé sa solidarité aux peuples du Mali et de la Centrafrique qui utilisent aujourd’hui souverainement le multilatéralisme pour rompre l’étau de la françafrique. Pour l’activiste, cela est une étape vers une solution panafricaine aux questions sécuritaires, anti-terroristes et mettre hits d’Afrique les bases militaires étrangères.
« J’exprime ma solidarité aux peuples du Mali et de la Centrafrique qui utilisent aujourd’hui souverainement le multilatéralisme pour rompre l’étau de la françafrique étape vers une solution panafricaine aux questions sécuritaires anti-terroristes et mettre hits d’Afrique les bases militaires étrangères. Solidarité aux frères et sœurs de la Guinée. Je soutiens sur la Guinée : la mise en place consensuelle des institutions démocratiques de la transition, la mise au centre de ce processus le FNDC qui a résisté contre les dérives de Alpha Condé, la préparation démocratique d’élections démocratiques et un retour des militaires dans les casernes…», a-t-il noté.
Il ajoute : « Les problèmes de l’Afrique se règlent en Afrique entre africains et sans la France ni aucun autre impérialisme ». À en croire le coordinateur du FRAPP, le temps des pom-poms girls de l’impérialisme est fini.
« J’exprime ma solidarité aux peuples du Mali et de la Centrafrique qui utilisent aujourd’hui souverainement le multilatéralisme pour rompre l’étau de la françafrique étape vers une solution panafricaine aux questions sécuritaires anti-terroristes et mettre hits d’Afrique les bases militaires étrangères. Solidarité aux frères et sœurs de la Guinée. Je soutiens sur la Guinée : la mise en place consensuelle des institutions démocratiques de la transition, la mise au centre de ce processus le FNDC qui a résisté contre les dérives de Alpha Condé, la préparation démocratique d’élections démocratiques et un retour des militaires dans les casernes…», a-t-il noté.
Il ajoute : « Les problèmes de l’Afrique se règlent en Afrique entre africains et sans la France ni aucun autre impérialisme ». À en croire le coordinateur du FRAPP, le temps des pom-poms girls de l’impérialisme est fini.