Assumant un mandat de transition en attendant qu’une nouvelle structure de gestion du Hajj soit mise en place suite à la dissolution du commissariat général au pèlerinage, le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères a rencontré les voyagistes. L’Etat veut mettre ainsi de l’ordre dans la gestion du pèlerinage à la Mecque. Pour réussir le pari, Amadou Kébé s’est montré clair avec ses partenaires hier au Centre international du commerce extérieur du Sénégal (Cices).
«Pas d’attribution supérieure au quota demandé par les voyagistes», marque-t-il. Le quota actuel du Sénégal est de 10 500 pèlerins, alors que la demande s’élève à 18 290. Les voyagistes privés auront droit à 8999 pèlerins contre 1501 pour le comité d’organisation du pèlerinage. Pour éviter les couacs de l’année dernière, Amadou Kébé, promet la fermeture concernant les récalcitrants. Aucun surplus ne sera accepté.
«Il faut respecter les quotas et sur ce plan, je ne négocie pas. Si vous avez un quota de 50 pèlerins, ne prenez pas 60. Il ne faut surtout pas venir au dernier moment nous dire que c’est le président de la République ou le Premier ministre qui m’a confié cinq (5) ou six (6) pèlerins. Ça ne passera pas», averti M. Kébé. Et d’avertir: «Il y a beaucoup de gens qui prennent des quotas pour les revendre. Celui qui ne peut pas organiser le pèlerinage doit rendre son quota à la commission. Si on prend quelqu’un qui vend des quotas, il sera sanctionné, de même que l’acheteur. C’est trop facile de rester ici et de se faire de l’argent, sans effort».
«Pas d’attribution supérieure au quota demandé par les voyagistes», marque-t-il. Le quota actuel du Sénégal est de 10 500 pèlerins, alors que la demande s’élève à 18 290. Les voyagistes privés auront droit à 8999 pèlerins contre 1501 pour le comité d’organisation du pèlerinage. Pour éviter les couacs de l’année dernière, Amadou Kébé, promet la fermeture concernant les récalcitrants. Aucun surplus ne sera accepté.
«Il faut respecter les quotas et sur ce plan, je ne négocie pas. Si vous avez un quota de 50 pèlerins, ne prenez pas 60. Il ne faut surtout pas venir au dernier moment nous dire que c’est le président de la République ou le Premier ministre qui m’a confié cinq (5) ou six (6) pèlerins. Ça ne passera pas», averti M. Kébé. Et d’avertir: «Il y a beaucoup de gens qui prennent des quotas pour les revendre. Celui qui ne peut pas organiser le pèlerinage doit rendre son quota à la commission. Si on prend quelqu’un qui vend des quotas, il sera sanctionné, de même que l’acheteur. C’est trop facile de rester ici et de se faire de l’argent, sans effort».