Le coordonnateur de la Rampe (Rencontre des acteurs et mouvements pour l’émergence), explique les réelles causes des troubles constatés dans BBY depuis la publication des listes, dans un entretien avec le journal «l’As».
«Les situations post-investitures sont toujours des moments de troubles. Il y a trois (3) phases dans les investitures. La phase avant, la phase investiture et celle post-investitures. En son temps, j’avais interpellé le Président Macky Sall pour lui demander de beaucoup communiquer en amont. Il fallait parler aux responsables et aux militants mais aussi parler avec les alliés des formats qu’on aura choisis. Il fallait surtout être ouvert, ne pas s’enfermer. Et le constat que j’ai fait, ce que les responsable ne sont pas restés ouverts par rapport aux autres et aux militants. Je veux parler du Président Macky Sall et tous ceux qui l’entourent», dit-il.
Selon lui, « l’option qui a été prise par Macky Sall, c’est de dire aux gens d’aller se retrouver dans leur départements et communes respectifs et de choisir. Et ensuite, Macky Sall s’est barricadé, ça a posé un problème. Je pense que ce n’était pas la meilleure formule. Il fallait être ouvert, recevoir les gens et discuter avec eux, parce qu’on savait quelles étaient les poches des résistances et où se trouveraient les difficultés».
Hamady Dieng conseille au Chef de l'Etat de prendre très au sérieux ces menaces de sanctions et de boycott. «Je m’étais ouvert au Président Sall par rapport à cela pour lui dire qu’il fallait faire très attention. J’ai posé une question qui est restée sans réponse jusqu'à présent. C’était de savoir quel est le rapport entre listes parallèles et votes sanctions ?... Une liste parallèle comprend des gens engagés à ne pas voter pour nous, mais pas pour l’opposition non plus. Alors que celui ou ceux qui font un vote sanction, votent contre nous, donc pour nos adversaires. Là, dans le premier schéma, pour l’option de la liste parallèle c’est ‘’moins-moins’’, tandis pour le vote sanction, est un danger pour Macky Sall et sa coalition. Je préféré les listes parallèle pour que nos frustrés aillent recueillir quelque chose pour nous le reverser, que leurs votes en faveur de l’opposition», sert-il.
«Les situations post-investitures sont toujours des moments de troubles. Il y a trois (3) phases dans les investitures. La phase avant, la phase investiture et celle post-investitures. En son temps, j’avais interpellé le Président Macky Sall pour lui demander de beaucoup communiquer en amont. Il fallait parler aux responsables et aux militants mais aussi parler avec les alliés des formats qu’on aura choisis. Il fallait surtout être ouvert, ne pas s’enfermer. Et le constat que j’ai fait, ce que les responsable ne sont pas restés ouverts par rapport aux autres et aux militants. Je veux parler du Président Macky Sall et tous ceux qui l’entourent», dit-il.
Selon lui, « l’option qui a été prise par Macky Sall, c’est de dire aux gens d’aller se retrouver dans leur départements et communes respectifs et de choisir. Et ensuite, Macky Sall s’est barricadé, ça a posé un problème. Je pense que ce n’était pas la meilleure formule. Il fallait être ouvert, recevoir les gens et discuter avec eux, parce qu’on savait quelles étaient les poches des résistances et où se trouveraient les difficultés».
Hamady Dieng conseille au Chef de l'Etat de prendre très au sérieux ces menaces de sanctions et de boycott. «Je m’étais ouvert au Président Sall par rapport à cela pour lui dire qu’il fallait faire très attention. J’ai posé une question qui est restée sans réponse jusqu'à présent. C’était de savoir quel est le rapport entre listes parallèles et votes sanctions ?... Une liste parallèle comprend des gens engagés à ne pas voter pour nous, mais pas pour l’opposition non plus. Alors que celui ou ceux qui font un vote sanction, votent contre nous, donc pour nos adversaires. Là, dans le premier schéma, pour l’option de la liste parallèle c’est ‘’moins-moins’’, tandis pour le vote sanction, est un danger pour Macky Sall et sa coalition. Je préféré les listes parallèle pour que nos frustrés aillent recueillir quelque chose pour nous le reverser, que leurs votes en faveur de l’opposition», sert-il.