«Quand on a un monopole sur un tonnage aussi important de 2 millions 350 mille tonnes, on pense que les économies d’échelles étant faites, les prix devrait aller à la baisse. Si vous allez au môle 8, vous verrez que les conditions de manutention sont plus que déplorables. Il n’est pas question que cette augmentation passe », décrète d'emblée le coordinateur du groupe des opérateurs miniers du Sénégal.
Ndiankou Mbengue renseigne que "depuis 2013, une concession a été signée pour Necotrans qui avait trouvé les tarifs à 1500 F CFA, la tonne. Cette société a, aujourd’hui, décidé de les amener à 3645 F CFA, la tonne". «Ce titre n’est pas justifié », tancent les opérateurs miniers qui indiquent qu'"un bateau des ciments du Sahel est bloqué par Necotrans". Une situation qui occasionne "15000 dollars de service perdu par jour".
"Les ciments du Sahel sont obligés de mettre leur production au ralenti et demain, ce sera le tour de Sococim, etc », dénoncent Ndiankou Mbengue et Cie.
«Nous sommes préoccupés par la viabilité des sociétés minières. Et, c’est cela qui est posé. Cela a un risque très fort. Elles risquent une diminution de leur production, de mettre leurs travailleurs en chômage technique et puis si cela dure, ce sont des licenciements. Voilà aujourd’hui, ce qui menace cette activité au Sénégal », s'indigne le collectif des députés pour la transparence.
Ndiankou Mbengue renseigne que "depuis 2013, une concession a été signée pour Necotrans qui avait trouvé les tarifs à 1500 F CFA, la tonne. Cette société a, aujourd’hui, décidé de les amener à 3645 F CFA, la tonne". «Ce titre n’est pas justifié », tancent les opérateurs miniers qui indiquent qu'"un bateau des ciments du Sahel est bloqué par Necotrans". Une situation qui occasionne "15000 dollars de service perdu par jour".
"Les ciments du Sahel sont obligés de mettre leur production au ralenti et demain, ce sera le tour de Sococim, etc », dénoncent Ndiankou Mbengue et Cie.
«Nous sommes préoccupés par la viabilité des sociétés minières. Et, c’est cela qui est posé. Cela a un risque très fort. Elles risquent une diminution de leur production, de mettre leurs travailleurs en chômage technique et puis si cela dure, ce sont des licenciements. Voilà aujourd’hui, ce qui menace cette activité au Sénégal », s'indigne le collectif des députés pour la transparence.