Les forces citoyennes et politiques vont tenir une marche pacifique ce vendredi 13 décembre 2019, de la Place de l'obélisque au rond-point de la RTS, pour dire non à la hausse du prix de l'électricité et exiger la libération de Dr Babacar Diop, Guy Marius Sagna et compagnie.
Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik, les contestataires renseignent que "cette marche doit être le point de départ pour la restauration de l'État de droit au Sénégal". Ainsi, les FDS lance un appel à tous les Sénégalais "épris de justice et attachés à la bonne gouvernance à prendre part massivement part à cette manifestation. Nous voulons deux millions de Sénégalais dans la rue ce vendredi pour lancer au Chef de l'État un double message", souhaitent-elles
Pour elles, "premièrement, le peuple refuse de payer pour une faute qu'il n'a pas commise. Les difficultés financières qui ont conduit l'Etat à opérer un racket sur les ménages et les entreprises au moyen d'une hausse injustifiée de l'électricité relèvent de la responsabilité exclusive du Chef de l'État pour qui l'entretien des courtisans et des transhumants prime sur le bien-être de ses millions de concitoyens. Deuxièmement, le peuple refuse d'assister en silence au massacre de ses droits garantis par la Constitution", se justifient-ils.
En définitive, les FDS met en garde le gouvernement du Sénégal "contre toute velléité d'interdiction de la marche. En tout état de cause, un arrêté préfectoral ne peut remettre en question notre détermination à exercer la plénitude des droits que nous confère notre Charte fondamentale."
Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik, les contestataires renseignent que "cette marche doit être le point de départ pour la restauration de l'État de droit au Sénégal". Ainsi, les FDS lance un appel à tous les Sénégalais "épris de justice et attachés à la bonne gouvernance à prendre part massivement part à cette manifestation. Nous voulons deux millions de Sénégalais dans la rue ce vendredi pour lancer au Chef de l'État un double message", souhaitent-elles
Pour elles, "premièrement, le peuple refuse de payer pour une faute qu'il n'a pas commise. Les difficultés financières qui ont conduit l'Etat à opérer un racket sur les ménages et les entreprises au moyen d'une hausse injustifiée de l'électricité relèvent de la responsabilité exclusive du Chef de l'État pour qui l'entretien des courtisans et des transhumants prime sur le bien-être de ses millions de concitoyens. Deuxièmement, le peuple refuse d'assister en silence au massacre de ses droits garantis par la Constitution", se justifient-ils.
En définitive, les FDS met en garde le gouvernement du Sénégal "contre toute velléité d'interdiction de la marche. En tout état de cause, un arrêté préfectoral ne peut remettre en question notre détermination à exercer la plénitude des droits que nous confère notre Charte fondamentale."