A travers un communiqué, « les avocats du Président HABRE portent à la connaissance de l’opinion nationale et internationale les faits suivants : le lundi 30 septembre 2013, le Président HABRE était sur sa table de travail à l’intérieur de sa cellule quand il a entendu la porte de la pièce grincer fortement. Etonné, il s’est retourné et s'est retrouvé face à 6 personnes qui avaient déjà pénétré à l’intérieur de sa cellule et se positionnaient au centre de la pièce : 4 hommes et 2 femmes (française et belge). L’un des hommes portait une tenue militaire et les insignes d’un grade de commandant. Il a déclaré être de la direction de l’administration pénitentiaire ».
Toujours à travers ce communiqué bien détaillé, les avocats de l’ancien président tchadien ajoutent, « le Président HABRE n’a pas échangé avec ces personnes inconnues, et devant le climat tendu, après quelques propos tenus par ces individus, le groupe s’est retiré de la cellule ».
Après avoir dénoncé ce qu’ils qualifient « d’intrusion forcée et de véritable agression psychologique et morale » contre leur client, ces avocats exigent « que soient divulgués: l’identité de ces individus, les motifs de cette visite, l’origine des instructions reçues à l’effet de procéder à ladite visite, la nature des autorisations reçues aux fins de pénétrer à l’intérieur de la prison, les modalités aux termes desquelles ces individus ont pu se procurer les moyens de pénétrer dans la cellule ».
Les avocats du Président Hissein HABRE veulent que « les résultats de cette enquête soit rendus publics et que les violations constatées fassent l’objet des sanctions administratives prévues par les textes en vigueur, sans préjudice des actions que la défense du Président se réserve d’entreprendre au vu de cette enquête ».
Toujours à travers ce communiqué bien détaillé, les avocats de l’ancien président tchadien ajoutent, « le Président HABRE n’a pas échangé avec ces personnes inconnues, et devant le climat tendu, après quelques propos tenus par ces individus, le groupe s’est retiré de la cellule ».
Après avoir dénoncé ce qu’ils qualifient « d’intrusion forcée et de véritable agression psychologique et morale » contre leur client, ces avocats exigent « que soient divulgués: l’identité de ces individus, les motifs de cette visite, l’origine des instructions reçues à l’effet de procéder à ladite visite, la nature des autorisations reçues aux fins de pénétrer à l’intérieur de la prison, les modalités aux termes desquelles ces individus ont pu se procurer les moyens de pénétrer dans la cellule ».
Les avocats du Président Hissein HABRE veulent que « les résultats de cette enquête soit rendus publics et que les violations constatées fassent l’objet des sanctions administratives prévues par les textes en vigueur, sans préjudice des actions que la défense du Président se réserve d’entreprendre au vu de cette enquête ».