Sadio Mané et ses coéquipiers célèbrent le tir au but de la victoire, au stade Olembé, à Yaoundé, le 6 février 2022. THEMBA HADEBE/ AP
Le peuple Sénégalais a une peur bleue des tirs au but. C’est la raison pour laquelle quand les «Pharaons» ont pu réussir leur stratégie et tactique consistant à trainer l’équipe nationale du Sénégal à l’épreuve fatidique, tous les supporters avaient commencé à perdre espoir. Le premier des Sénégalais, le chef de l’Etat, Macky Sall l’a même reconnu. «Quand nous sommes arrivé aux tirs au but, j’ai perdu tout espoir. Mais Dieu et la chance ont été avec nous», avait-il déclaré après la victoire finale consacrant la première étoile du Sénégal dans une Coupe d’Afrique des Nations (CAN).
«Cela faisait 46 ans que le Sénégal n’avait plus gagné un match officiel grâce aux tirs au but», a tenu à souligner le journaliste de la branche digitale du quotidien national «Le Soleil». Il a rappelé que «depuis un jour de Tabaski, 14 décembre 1975, le Sénégal n’avait plus remporté de match officiel de football grâce aux tirs au but».
Et de préciser : «alors que le Zaïre régnait sur le football africain, vainqueur de la Can 1974 et une qualification à la Coupe du monde de la même année, les « Lions » avec feu Christophe Sagna, Yamagor Seck, Badou Gaye ou encore Léopold Diop avaient gagné la bataille de Kinshasa».
«Dans le même rôle que Sadio Mané, Oumar Ndiaye «Bosquier» réussit le dernier tir au but qui allait barrer les « Léopards » du chemin des Jeux Olympiques de Montréal 1976. Ce 6 février 2022, ce n’est pas au Canada que les Lions nous ont conduit mais au Panthéon du football africain», s’est-il félicité avant de remercier vivement Aliou Cissé et les Lions pour «Mbégté bou amoul ap – joie sans fin».
«Cela faisait 46 ans que le Sénégal n’avait plus gagné un match officiel grâce aux tirs au but», a tenu à souligner le journaliste de la branche digitale du quotidien national «Le Soleil». Il a rappelé que «depuis un jour de Tabaski, 14 décembre 1975, le Sénégal n’avait plus remporté de match officiel de football grâce aux tirs au but».
Et de préciser : «alors que le Zaïre régnait sur le football africain, vainqueur de la Can 1974 et une qualification à la Coupe du monde de la même année, les « Lions » avec feu Christophe Sagna, Yamagor Seck, Badou Gaye ou encore Léopold Diop avaient gagné la bataille de Kinshasa».
«Dans le même rôle que Sadio Mané, Oumar Ndiaye «Bosquier» réussit le dernier tir au but qui allait barrer les « Léopards » du chemin des Jeux Olympiques de Montréal 1976. Ce 6 février 2022, ce n’est pas au Canada que les Lions nous ont conduit mais au Panthéon du football africain», s’est-il félicité avant de remercier vivement Aliou Cissé et les Lions pour «Mbégté bou amoul ap – joie sans fin».