Il paraît qu’on pousse un peu trop ce débat sur l’homosexualité au Sénégal. Sans trop pousser la réflexion ou se limiter juste sur un sentiment de rejet de ce sujet, on peut penser ainsi. J’ai eu le sentiment contraire en lisant une contribution d’une consœur qui expliquait en partie la publicité subliminale « une façon de faire la publicité d’un produit, la promotion d’une valeur, sans pour autant les citer nommément (…). La publicité subliminale constitue le choix idéal pour les industries qui produisent tabac et alcool, l’option des lobbies homosexuels et lesbiens, des entités qui ne bénéficient pas partout d’une légitimité juridique pour faire officiellement la publicité de leurs produits (le tabac, l’alcool, la drogue…) ou de leurs idées (les actes contre- nature) ». Seulement pourquoi cette tintamarre sur la question maintenant, certains vont lier cela à la situation en France, pays de références pour le Sénégal sur plusieurs sujets. Cela ne peut pas tout de même justifier tout ce bruit autour du sujet, la raison fondamentale est locale. Et elle n’est pas seulement politique même si dernièrement les politiques ont essayé d’utiliser l’homosexualité comme arme de guerre avec des déclarations qui dépassent l’entendement pour des gens qui veulent nous expliquer qu’ils ont une certaine ambition pour ce pays.
Les politiques et des Organisations de défense des droits de l’Homme sont à l’origine d’une telle situation. Des homosexuels ont longtemps vécu dans des quartiers de nos villes sans beaucoup de bruit sous seulement le regard répugnant et le doigt accusateur de la société. Et d’ailleurs avec une complicité et acceptation car ces homo ont joué souvent les maîtres et maîtresse de cérémonie pour nos bonnes driankés lors des mariages et autres baptêmes. Aujourd’hui pour de simples intérêts mercantiles des organisations ont sorti ces gens de l’anonymat en les délivrant des passeports et des billets d’avion pour leur protection. Parce qu’à un moment donné avec la complicité de ces politiques et droits de l’hommiste, les bannis acceptés ont voulu dépasser les limites permises par la société.
« Comme Golo dou yabé Bouky ci dokhine wala », ceux qui étaient rejetés, pensent aujourd’hui avoir l’opportunité de s’exhiber sans risque parce que peut-être des protecteurs sont parmi les hauts placés. En tout cas pas de fumée sans feu, le débat soulevé à ce moment n’est pas gratuit avec l’aide bien sûr de la presse animatrice des échanges et une certaine presse people surtout sur le net qui nous fait le point sur les gestes et activités des homosexuels. Et comme pour confirmer la chanteuse Fatou Gueweul Diouf qui prépare l’anniversaire de son orchestre en France compte Maniang Kassé parmi ces invités de marque et dans la publicité de cette manifestation c’est en boucle qu’on entend sur les ondes le nom de Maniang Kassé à côté des noms du président de la République Macky Sall, de l’ancien président Abdou Diouf, de la première Dame Marième Faye Sall, des amies de Fatou Gueweul Diouf, filles de dignitaire religieux. Tout est mélangé !
Cette question va rester un débat de société dans une République laïque. Les autorités doivent juste montrer une fermeté qui pousse chacun à rester dans son coin. Personne ne doit pas se sentir agressé dans ses croyances et valeurs. Ainsi nous allons continuer de vivre dans les bizarreries de notre société c’est mieux que des déballages et des citoyens qui se font justice. Pour le reste Dieu reconnaîtra ses hommes et ses femmes !
Les politiques et des Organisations de défense des droits de l’Homme sont à l’origine d’une telle situation. Des homosexuels ont longtemps vécu dans des quartiers de nos villes sans beaucoup de bruit sous seulement le regard répugnant et le doigt accusateur de la société. Et d’ailleurs avec une complicité et acceptation car ces homo ont joué souvent les maîtres et maîtresse de cérémonie pour nos bonnes driankés lors des mariages et autres baptêmes. Aujourd’hui pour de simples intérêts mercantiles des organisations ont sorti ces gens de l’anonymat en les délivrant des passeports et des billets d’avion pour leur protection. Parce qu’à un moment donné avec la complicité de ces politiques et droits de l’hommiste, les bannis acceptés ont voulu dépasser les limites permises par la société.
« Comme Golo dou yabé Bouky ci dokhine wala », ceux qui étaient rejetés, pensent aujourd’hui avoir l’opportunité de s’exhiber sans risque parce que peut-être des protecteurs sont parmi les hauts placés. En tout cas pas de fumée sans feu, le débat soulevé à ce moment n’est pas gratuit avec l’aide bien sûr de la presse animatrice des échanges et une certaine presse people surtout sur le net qui nous fait le point sur les gestes et activités des homosexuels. Et comme pour confirmer la chanteuse Fatou Gueweul Diouf qui prépare l’anniversaire de son orchestre en France compte Maniang Kassé parmi ces invités de marque et dans la publicité de cette manifestation c’est en boucle qu’on entend sur les ondes le nom de Maniang Kassé à côté des noms du président de la République Macky Sall, de l’ancien président Abdou Diouf, de la première Dame Marième Faye Sall, des amies de Fatou Gueweul Diouf, filles de dignitaire religieux. Tout est mélangé !
Cette question va rester un débat de société dans une République laïque. Les autorités doivent juste montrer une fermeté qui pousse chacun à rester dans son coin. Personne ne doit pas se sentir agressé dans ses croyances et valeurs. Ainsi nous allons continuer de vivre dans les bizarreries de notre société c’est mieux que des déballages et des citoyens qui se font justice. Pour le reste Dieu reconnaîtra ses hommes et ses femmes !