Du Al Pulhar « FOTTI » ou rencontre, un atelier de deux semaines a lieu depuis avant-hier. Une seconde session « d’encadrement, pour permettre des rencontres entre gens qui évoluent dans le secteur culturel », avance M. Ives Preira, président de « FOTTI ». Il revient sur la précédente édition, ou le théâtre sur scène fut à l’honneur et le projet avait sillonné les régions du Sénégal pour donner des formations ayant permis de dénicher des talents qui ont évolué des productions internationales. « Maintenant, c’est la phase d’encadrement dans les volets audiovisuel et cinéma avec toujours l’objectif initial d’outiller les jeunes qui veulent faire du Cinéma à travers des formations gratuites. Pour ce faire, un médium de performation est prévu pour compléter leur savoir-faire en amenant quelque chose de qualité et de très pragmatique parce que la formation théorique ne suffit pas » , explique M. Preira.
Selon M. Hugues Diaz, Directeur de la cinématographie du Sénégal, il faut tirer le chapeau au FOTTI et mettre un bon un coup de sabot aux détracteurs de la production sénégalaise et des séries locales. Le représentant du ministère de la culture estime qu’il y a eu tellement de débat mal fondé, mal posé sur la qualité de nos séries, qu’il faut faire la part des choses. D’abord, le mérite revient à ces personnes qui ont eu à faire l’effort de dégager les séries qui n’étaient pas les nôtres, car depuis des années, nos télévisions ont été envahies par des productions étrangères qui ne reflétaient pas notre identité, explique le spécialiste.
« Ces Sénégalais sans formation qui produisent, valorisent tant soit peu leur culture, la meilleure critique est de les amener à renforcer leur capacité », estime M. Diaz qui clarifie la position de la Cinématographie : « Nous, on ne censure pas. Au contraire on appelle les parties prenantes pour demander d’atténuer ou de reformuler telle séquence pouvant porter atteinte à des personnes, la religion ou l’ethnie. L’Etat a mis un dispositif pour accompagner les créateurs, maintenant il est libre aux gens de faire des critiques mais toute production qui doit être faite, doit avoir une autorisation de tournage. Aussi, selon le spécialiste, toutes les séries ne doivent pas être vues par des mineurs même s’Il n’y a pas de censure, maintenant l’enjeu c’est de protéger les enfants qui veulent regarder à des heures tardives la même série que leurs parents et ça, pour y remédier , les responsabilités sont partagées entre les parents et les télévisions » , départage le directeur de la Cinématographie H. Diaz.
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Selon M. Hugues Diaz, Directeur de la cinématographie du Sénégal, il faut tirer le chapeau au FOTTI et mettre un bon un coup de sabot aux détracteurs de la production sénégalaise et des séries locales. Le représentant du ministère de la culture estime qu’il y a eu tellement de débat mal fondé, mal posé sur la qualité de nos séries, qu’il faut faire la part des choses. D’abord, le mérite revient à ces personnes qui ont eu à faire l’effort de dégager les séries qui n’étaient pas les nôtres, car depuis des années, nos télévisions ont été envahies par des productions étrangères qui ne reflétaient pas notre identité, explique le spécialiste.
« Ces Sénégalais sans formation qui produisent, valorisent tant soit peu leur culture, la meilleure critique est de les amener à renforcer leur capacité », estime M. Diaz qui clarifie la position de la Cinématographie : « Nous, on ne censure pas. Au contraire on appelle les parties prenantes pour demander d’atténuer ou de reformuler telle séquence pouvant porter atteinte à des personnes, la religion ou l’ethnie. L’Etat a mis un dispositif pour accompagner les créateurs, maintenant il est libre aux gens de faire des critiques mais toute production qui doit être faite, doit avoir une autorisation de tournage. Aussi, selon le spécialiste, toutes les séries ne doivent pas être vues par des mineurs même s’Il n’y a pas de censure, maintenant l’enjeu c’est de protéger les enfants qui veulent regarder à des heures tardives la même série que leurs parents et ça, pour y remédier , les responsabilités sont partagées entre les parents et les télévisions » , départage le directeur de la Cinématographie H. Diaz.
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