Des soldats de l'Armée populaire de libération du Soudan en attente dans un camp de Malakal. REUTERS/Andreea Campeanu
J'étais à Malakal il y a une semaine-dix jours. La ville était complètement détruite et quasiment vide. On a vu des maisons en train de brûler, des cadavres dans les rues.
Jéhanne HenryChercheuse pour Human Rights Watch et co-auteure du rapport
Source : Rfi.fr
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