«La Société Atlantique pilotée par Raymond, un Espagnol est venu au Sénégal dans le cadre de la transformation des pirogues. Quand ils ont su que nous aussi, on était dans la métallurgie et qu’on faisait aussi de la recherche innovation, il a demandé qu’il y ait une possibilité de partenariat. Et c’est de là qu'est né le partenariat entre moi et Raymond. Nous avons initié un projet qu’on appel ROUTE.
Il consiste a créé un cadre de concertation, d’échange d’expérience entre les créateurs, ceux de l’Europe en général et d'Espagne en particulier. Déjà nous avons accueilli pour la première édition, les étudiants de cinq universités avec un recteur plus des professeurs de ses universités qui sont là pour 15 jours. Nous allons les mettre en rapport avec des créateurs Sénégalais, surtout des filles. Des artisans qui s’occupent un peu de l’art et de la transformation aussi.
L’itinéraire qui est prévu, c’est juste une partie du temps à Dakar. Mais nous sortirons aussi de Dakar parce qu'on a constaté aussi dans les autres régions comme Thiès, Saint-Louis même la Casamance (Ziguinchor), des créateurs. Le groupe fera tout ce tour pour partager toutes cette expériences », explique le partenaire Sénégalais de la société Atlantique.
Mamadou Lamine Diawara d’ajouter: «Notre attente va au delà parce que pour nous, c’est une façon de vendre la destination Sénégalaise. On sait que le tourisme, c’est une des ressources du pays et que la création aussi est un moyen d’attirer les étrangers ».
Prenant part au « ndogou » (rupture du jeûne) organisé, hier par l’ambassade d’Espagne, le Directeur, Alessandro Manett a souligné pour sa part que : « La Société Atlantique a des écoles en Italie, en Espagne. Nous avons décidé de participer à ce projet pour faire de Route Atlantique 2015, avec l’entrepreneur Raymond pour développer un partenariat avec le Sénégal et travailler dans la créativité artisanale. Nous avons 15 étudiants répartir dans nos différentes disciplines… ».
Pour sa part, Angélique Diedhiou, styliste mène sont combat pour que ce qui est produit au Sénégal soit utilisable en Europe. «Nous avons une richesse culturelle incommensurable. Mes amis européens apportent leur créativité et c’est dans cette lancée, qu’on peut s’enrichir et avancer. La mondialisation est comme le disait Senghor, c’est l’universel...".
Il consiste a créé un cadre de concertation, d’échange d’expérience entre les créateurs, ceux de l’Europe en général et d'Espagne en particulier. Déjà nous avons accueilli pour la première édition, les étudiants de cinq universités avec un recteur plus des professeurs de ses universités qui sont là pour 15 jours. Nous allons les mettre en rapport avec des créateurs Sénégalais, surtout des filles. Des artisans qui s’occupent un peu de l’art et de la transformation aussi.
L’itinéraire qui est prévu, c’est juste une partie du temps à Dakar. Mais nous sortirons aussi de Dakar parce qu'on a constaté aussi dans les autres régions comme Thiès, Saint-Louis même la Casamance (Ziguinchor), des créateurs. Le groupe fera tout ce tour pour partager toutes cette expériences », explique le partenaire Sénégalais de la société Atlantique.
Mamadou Lamine Diawara d’ajouter: «Notre attente va au delà parce que pour nous, c’est une façon de vendre la destination Sénégalaise. On sait que le tourisme, c’est une des ressources du pays et que la création aussi est un moyen d’attirer les étrangers ».
Prenant part au « ndogou » (rupture du jeûne) organisé, hier par l’ambassade d’Espagne, le Directeur, Alessandro Manett a souligné pour sa part que : « La Société Atlantique a des écoles en Italie, en Espagne. Nous avons décidé de participer à ce projet pour faire de Route Atlantique 2015, avec l’entrepreneur Raymond pour développer un partenariat avec le Sénégal et travailler dans la créativité artisanale. Nous avons 15 étudiants répartir dans nos différentes disciplines… ».
Pour sa part, Angélique Diedhiou, styliste mène sont combat pour que ce qui est produit au Sénégal soit utilisable en Europe. «Nous avons une richesse culturelle incommensurable. Mes amis européens apportent leur créativité et c’est dans cette lancée, qu’on peut s’enrichir et avancer. La mondialisation est comme le disait Senghor, c’est l’universel...".
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