Gare aux détracteurs de la famille Wade. Ils rencontreront le Professeur Iba Der Thiam. Répondant ce dimanche à une question, à l’émission Grand Jury de la Rfm, sur des signes de monarchisation et la patrimonialisation l’Etat (Karim avec l’ANOCI et Sindiély au FESMAN), le vice-président de l’Assemblée nationale, par ailleurs membre du comité directeur du PDS a «dégainé».
«Il faut, quand, même que le Sénégalais sache raison gardée. Il y a une façon de traiter d’une famille qui me semble, totalement, inacceptable», a tonné l’ancien patron de la CDP/Garab Gui en indiquant qu’avant de venir travailler au Sénégal, Karim Wade «baignait dans une aisance totale».
«Je voudrais dire que Karim Wade travaillait à la City de Londres ; c'est-à-dire dans une structure où il touchait des millions et des millions de francs par mois. Il baignait dans une aisance matérielle totale, loin de toute préoccupation à caractère personnel. La presse ne l’attaquait pas. Il n’était impliqué dans rien d’autre que faire son travail à la satisfaction de ceux qui l’avaient embauché», a défendu Iba Der Thiam.
«Syndiély Wade était à Vienne et travaillait aussi après avoir acquis une expérience et une expertise confirmée dans le domaine de la gouvernance», a-t-il ajouté.
Selon lui, Karim et sa sœur, qui sont venus travailler au Sénégal suite à l’appel du Président Wade à la Diaspora, n’avaient pas de salaire au début.
«Quand Karim Wade est venu, il n’a pas reçu de fonction au départ. Il n’avait donc pas de salaire. C’est la même chose pour Sindiély», a noté Iba Der Thiam qui rappelle : «dans notre culture, un fils qui ne participe pas au combat de son père n'est pas un bon fils».
«Il faut, quand, même que le Sénégalais sache raison gardée. Il y a une façon de traiter d’une famille qui me semble, totalement, inacceptable», a tonné l’ancien patron de la CDP/Garab Gui en indiquant qu’avant de venir travailler au Sénégal, Karim Wade «baignait dans une aisance totale».
«Je voudrais dire que Karim Wade travaillait à la City de Londres ; c'est-à-dire dans une structure où il touchait des millions et des millions de francs par mois. Il baignait dans une aisance matérielle totale, loin de toute préoccupation à caractère personnel. La presse ne l’attaquait pas. Il n’était impliqué dans rien d’autre que faire son travail à la satisfaction de ceux qui l’avaient embauché», a défendu Iba Der Thiam.
«Syndiély Wade était à Vienne et travaillait aussi après avoir acquis une expérience et une expertise confirmée dans le domaine de la gouvernance», a-t-il ajouté.
Selon lui, Karim et sa sœur, qui sont venus travailler au Sénégal suite à l’appel du Président Wade à la Diaspora, n’avaient pas de salaire au début.
«Quand Karim Wade est venu, il n’a pas reçu de fonction au départ. Il n’avait donc pas de salaire. C’est la même chose pour Sindiély», a noté Iba Der Thiam qui rappelle : «dans notre culture, un fils qui ne participe pas au combat de son père n'est pas un bon fils».