
Il n’y a plus de recettes publicitaires, les annonces de grands événements ont disparu, parce qu’il n’y a plus d’activités. Parallèlement, les charges ont augmenté. Le diagnostic du Président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel) est alarmant. En plus de la rareté des recettes, Ibrahima Lissa Faye explique qu’il faut désormais assurer les frais de connexion et le téléphone à tous les agents, envoyer les frais de reportage ou aller les chercher, pour qu’ils puissent travailler à distance. «La presse en ligne souffre.
Les pertes cumulées sont énormes. Il y’en a qui pensent déjà à réduire leur personnel, d’autres à quitter leurs locaux parce qu’ils n’arrivent plus à payer le loyer. On souffre. Si certains ont tenu jusqu’ici, ce n’est pas évident qu’ils puissent le faire pendant longtemps encore. Il n’y a pas de solutions en vue dans le moyen terme. Sans le soutien de l’Etat, on ne peut pas s’en sortir. Il ne faut pas que cela soit des miettes. Sinon on risque de tomber dans les mêmes travers. Il y a aussi les charges fiscales qui vont arriver. Parce qu’elles n’ont pas été supprimées, mais reportées», alerte-t-il.
Pour continuer à résister, le Président de l’Appel estime qu’il faudra supprimer certains postes de dépenses. «Sinon on ne va pas tenir. Aujourd’hui tout le monde est touché», dit-il.
Les pertes cumulées sont énormes. Il y’en a qui pensent déjà à réduire leur personnel, d’autres à quitter leurs locaux parce qu’ils n’arrivent plus à payer le loyer. On souffre. Si certains ont tenu jusqu’ici, ce n’est pas évident qu’ils puissent le faire pendant longtemps encore. Il n’y a pas de solutions en vue dans le moyen terme. Sans le soutien de l’Etat, on ne peut pas s’en sortir. Il ne faut pas que cela soit des miettes. Sinon on risque de tomber dans les mêmes travers. Il y a aussi les charges fiscales qui vont arriver. Parce qu’elles n’ont pas été supprimées, mais reportées», alerte-t-il.
Pour continuer à résister, le Président de l’Appel estime qu’il faudra supprimer certains postes de dépenses. «Sinon on ne va pas tenir. Aujourd’hui tout le monde est touché», dit-il.
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