Idrissa Seck a soutenu ce mercredi, au sortir de la prière de la Tabaski que sa démarche n’a pas changé. Elle est basée juste sur la vérité qu’il compte toujours dire au Président Me Abdoulaye Wade, par ailleurs Secrétaire général national du parti démocratique sénégalais dont est membre le maire de Thiès. «Strictement rien n’a changé dans ma démarche. Parce que justement, elle est invariable et inimmuable. C’est une démarche prescrite (…). Je condamne tout ce qui est blâmable, quel qu’en soit l’auteur. Ça ne changera pas ; c’est comme ça que je suis formaté. Hier, je lui disais la vérité, aujourd’hui je lui dis la vérité, demain, je lui dirai la vérité. Je le ferai avec douceur, bien sûr(…)», a révélé le maire de Thiès qui estime que le parti démocratique n’a pas encore de candidat pour la présidentielle de 2012.
«Je ne considère pas aujourd’hui que le PDS ait un candidat à l’élection présidentielle», a déclaré Idrissa Seck. «Ce à quoi j’invite, c’est qu’on en discute justement pour gérer le risque qu’à 29 jours du scrutin, le Conseil constitutionnel empêche le parti démocratique sénégalais (PDS) de participer à la compétition électorale en invalidant la candidature du président de la république sortant et du Secrétaire général actuel du parti», a argué le maire de Thiès qui n’a pas dérogé à sa règle. Il a encore usé d’image en allant dans le monde du football.
«Lors du dernier mondial de football, si la Côte d’Ivoire avait un autre Drogba (Didier), elle n’aurait pas été traumatisée par la blessure de Drogba», a-t-il imagé.
«Ne serait-ce que de ce point de vue, il est judicieux pour le PDS d’avoir deux ou trois candidats d’assez bonne qualité pour que, s’il arrive quelque chose à l’un, pour une raison ou une autre, l’autre puisse garantir la présence du parti à la compétition», recommande l’ancien second de Me Wade. «Lorsque les grands partis organisent des primaires, c’est dans ce but qu’ils le font. Ce n’est pas pour régler une querelle entre acteur ; c’est pour permettre au parti d’identifier deux (2) ou trois (3) candidats au parti, de manière à ce que si le titulaire a des problèmes, que le suppléant soit dans la même forme voire une forme supérieure», a développé l’édile.
«Je ne considère pas aujourd’hui que le PDS ait un candidat à l’élection présidentielle», a déclaré Idrissa Seck. «Ce à quoi j’invite, c’est qu’on en discute justement pour gérer le risque qu’à 29 jours du scrutin, le Conseil constitutionnel empêche le parti démocratique sénégalais (PDS) de participer à la compétition électorale en invalidant la candidature du président de la république sortant et du Secrétaire général actuel du parti», a argué le maire de Thiès qui n’a pas dérogé à sa règle. Il a encore usé d’image en allant dans le monde du football.
«Lors du dernier mondial de football, si la Côte d’Ivoire avait un autre Drogba (Didier), elle n’aurait pas été traumatisée par la blessure de Drogba», a-t-il imagé.
«Ne serait-ce que de ce point de vue, il est judicieux pour le PDS d’avoir deux ou trois candidats d’assez bonne qualité pour que, s’il arrive quelque chose à l’un, pour une raison ou une autre, l’autre puisse garantir la présence du parti à la compétition», recommande l’ancien second de Me Wade. «Lorsque les grands partis organisent des primaires, c’est dans ce but qu’ils le font. Ce n’est pas pour régler une querelle entre acteur ; c’est pour permettre au parti d’identifier deux (2) ou trois (3) candidats au parti, de manière à ce que si le titulaire a des problèmes, que le suppléant soit dans la même forme voire une forme supérieure», a développé l’édile.
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