Le leader du parti Rewmi et membre du collectif des candidats C25, est, à l’instar des autres camarades de l’opposition, venu constater, les dégâts causés par la répression policière au Quartier Général (QG) de Manko Taxawu Sénégaal. Idissa Seck s’est indigné et accuse le pouvoir en place d’utiliser la violence pour écarter des candidats
«Nous sommes venus aujourd’ui au siège de notre frère et ami Khalifa Ababacar Sall constater l’agression dont ses responsables et militants font ait l’objet avec une rare brutalité comme l’état des lieux, nous l’a montré », déclare le candidat à la présidentielle de février 2019.
Idrissa Seck, qui a effectué une visite des locaux du QG de préciser à sa sortie : «Nous sommes venus, dans le cadre du C25, exprimer notre solidarité après nous être indignés de cette brutalité policière, de cette violence physique qui n’est que le prolongement de la violence judiciaire, législative, administrative, technologique que le pouvoir entend utiliser pour écarter des candidats à l’élection présidentielle de février 2019».
«C’est donc le prolongement d’un plan qui appelle une réponse solidaire, unitaire de l’ensemble de l’opposition pour faire échec à la volonté du président sortant de se maintenir au pouvoir contre le gré des populations», lance-t-il.
«Nous sommes venus aujourd’ui au siège de notre frère et ami Khalifa Ababacar Sall constater l’agression dont ses responsables et militants font ait l’objet avec une rare brutalité comme l’état des lieux, nous l’a montré », déclare le candidat à la présidentielle de février 2019.
Idrissa Seck, qui a effectué une visite des locaux du QG de préciser à sa sortie : «Nous sommes venus, dans le cadre du C25, exprimer notre solidarité après nous être indignés de cette brutalité policière, de cette violence physique qui n’est que le prolongement de la violence judiciaire, législative, administrative, technologique que le pouvoir entend utiliser pour écarter des candidats à l’élection présidentielle de février 2019».
«C’est donc le prolongement d’un plan qui appelle une réponse solidaire, unitaire de l’ensemble de l’opposition pour faire échec à la volonté du président sortant de se maintenir au pouvoir contre le gré des populations», lance-t-il.