«Je pense que vous ne m'écoutez pas suffisamment bien. Ce à quoi je suis candidat, c'est d'être le quatrième président de la République», a déclaré le président du parti Rewmi qui a officialisé son retour à la maison du père depuis le 4 novembre dernier. «Me Abdoulaye Wade est le troisième, quelque soit la durée que cela puisse avoir, il reste le troisième président de la République. Et là je suis candidat au poste de quatrième président», a-t-il insisté.
Le maire de Thiès a encore sacrifié à la tradition en effectuant la prière de Tabaski à la grande mosquée de «Moussanté» où l’imam, Tamsir Ndiour se fait remarquer par ses prêches parfois acerbes à l’encontre du pouvoir. Cette édition de l’Aïd el Kébir, le religieux est revenu les retrouvailles entre Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. «C’est normal, c’est deux musulmans qui se retrouvent après un long moment de brouille», a souligné l’imam Tamsir Ndiour de manière péremptoire.
En réponse à cette réaction de l’imam de la grande mosquée de «Moussanté», le maire de Thiès a fait savoir : «je pense qu'il n'échappe à personne en ce qui me concerne qu'il s'agit d'une option constante. Depuis l'éclatement de la crise qui nous a opposée, j'ai toujours revendiqué mon appartenance à la famille libérale. Aujourd'hui que ces retrouvailles soient scellées, je m'en réjouis».
Le fils putatif du chef de l’Etat a ajouté qu’elles «(les retrouvailles) viennent ainsi conforter cette option qui a toujours été la mienne».
Le maire de Thiès a encore sacrifié à la tradition en effectuant la prière de Tabaski à la grande mosquée de «Moussanté» où l’imam, Tamsir Ndiour se fait remarquer par ses prêches parfois acerbes à l’encontre du pouvoir. Cette édition de l’Aïd el Kébir, le religieux est revenu les retrouvailles entre Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. «C’est normal, c’est deux musulmans qui se retrouvent après un long moment de brouille», a souligné l’imam Tamsir Ndiour de manière péremptoire.
En réponse à cette réaction de l’imam de la grande mosquée de «Moussanté», le maire de Thiès a fait savoir : «je pense qu'il n'échappe à personne en ce qui me concerne qu'il s'agit d'une option constante. Depuis l'éclatement de la crise qui nous a opposée, j'ai toujours revendiqué mon appartenance à la famille libérale. Aujourd'hui que ces retrouvailles soient scellées, je m'en réjouis».
Le fils putatif du chef de l’Etat a ajouté qu’elles «(les retrouvailles) viennent ainsi conforter cette option qui a toujours été la mienne».