Les jeunes étudiants sénégalais que nous étions dans la période 86-92 rentrions au pays pour les grandes vacances, les têtes pleines de théories, les yeux remplis de modèles socio-économiques des pays développés, ne rations jamais l’opportunité de critiquer ceux qui nous soutenaient, dans la poursuite de nos études à l’étranger, espérant, en retour, nous voir leur revenir, un jour, les soutenir dans leur combat titanesque de lutte contre la pauvreté, dans notre pays. Entre autres raisons, la motivation fondamentale était d’impressionner notre auditoire à travers la démonstration de l’incapacité de nos dirigeants et nos compétences présupposées pour suppléer ces derniers, à nos yeux, incapables de trouver des solutions idoines aux problèmes auxquels étaient confrontés nos concitoyens dans l’éducation, la santé, l’emploi, l’habitat et bien d’autres domaines. Combien de fois le sieur Idrissa SECK, après avoir disparu pendant longtemps de la scène politique sénégalaise revient t’il d’Europe, comme quand il était étudiant, nous faire croire qu’il est notre messie ?
C’est assurément pendant la période des campagnes présidentielles, législatives, des célébrations religieuses et aujourd’hui des élections communales, qu’il choisit pour faire ses sorties médiatiques désordonnées et tenter de se rappeler au bon souvenir des sénégalais qu’il pense être son auditoire exclusif. Mais personne n’est dupe au Sénégal. Ces supercheries à grands éclats ne peuvent plus nous émouvoir. Au contraire, on se demande pourquoi Monsieur SECK n’essaie-t-il pas en toute responsabilité, d’expliquer ce qui ne va pas chez lui ? Pourquoi tous ses ténors à REWMI l’ont quitté? Dans un contexte politique normal, le minimum de respect aurait voulu qu’il expliquât aux sénégalais les raisons des défections dans son parti au lieu de tenter de soulever de faux problèmes pour éviter de montrer qu’il n’a plus suffisamment de crédibilité pour diriger tous ces grands cadres qui l’ont quitté, au nom de l’intérêt supérieur de la nation.
Parmi ceux-ci, on peut citer en guise d’exemple Me Nafissatou Diop Cisse, Youssou Diagne et Ousmane Thiongane. En outre, à moins qu’il ne s’imagine que les sénégalais ne réfléchissent pas ou qu’ils souffrent tous d’amnésie, il est trop facile de changer de camp et d’alliés au gré de ses intérêts. La diffusion inédite des terrifiantes cassettes depuis Reubeuss, les incessants balais entre le Palais et Point E, nuitamment, l’entrée et la sortie de BBY, etc... Un minimum d’intelligence aurait dû lui enseigner de ne pas débarquer au pays, presque en même temps que son mentor, devenu bourreau et persécuteur, consécutivement à l’épisode du fameux partage du butin, digne d’une saga du Far West, qui a fini à Reubeuss, pour lancer ses diatribes contre un gouvernement à la tête duquel se trouve son alter ego, le Président Macky SALL. En réalité, tout ceci n’est que le reflet de sa jalousie et de ses rancœurs, enfouies à jamais dans ce qui restera son rêve eternel : « idy4president@...» D’ailleurs, l’actuel locataire de l’avenue Léopold Sedar Senghor devrait reprendre cet identifiant en le renommant macky4president@... Cela lui revient de droit.
Il pourra toujours revendiquer son droit d’auteur car c’est tout ce qu’il mérite. Autant, il lui était permis de s’autoproclamer 4ème Président du Sénégal, autant il appartenait aux Sénégalais d’en décider et c’est ce qu’ils ont fait le jour du scrutin du 25 Mars 2012, par la volonté du bon Dieu (toutil moulkou man ta cha wa tounji oul moulkou man ta cha bi khairy hissab). Comment un étranger dans son propre pays peut-il trouver des solutions aux préoccupations de citoyens alors qu’il ne vit pas avec eux au quotidien ? Visiblement, Idrissa SECK est resté un éternel étudiant vacancier car il perpétue cette attitude d’étudiant que nous étions avec des faiblesses caractérisées par des réactions empreintes d’euphorie, de naïveté et un vécu insuffisant dans le quotidien des sénégalais. Au contraire, le Sénégal a besoin, à l’image du Président Macky SALL, de personnes ressources réfléchies, capables non seulement de concevoir mais de décliner une vision claire matérialisée par l’opérationnalisation des 21 projets concrets du Plan Sénégal Emergent dont le financement est bel et bien bouclé, n’en déplaise à l’éternel étudiant vacancier.
Conjugué à la réforme territoriale à travers l’Acte III de la décentralisation, le PSE constitue la clé de voûte de la croissance que l’état aura pour obligation de répartir entre les populations sur l’ensemble du territoire de notre pays. En effet, avec ces deux projets majeurs, le Sénégal se lance définitivement dans la voie de l’émergence et c’est un moment historique que tout SENEGALAIS, épris de son pays, devrait accompagner, fût-ce Monsieur Idrissa SECK, à qui le Président Macky a offert l’occasion d’inscrire son nom en lettre d’or dans les annales de l’histoire de notre SUNUGAL en l’appelant à travailler à ses cotés. Bien entendu, plutôt que de mettre la main à la pâte et montrer ce dont il est capable, il préférera rester un éternel théoricien qui aura choisi la solution de facilité en critiquant le combat des braves et des visionnaires, qui, eux, tentent de nous sortir de la pauvreté.
Les Sénégalais jugeront. Si le Sénégal nous appartient tous, il faut aussi savoir que nous appartenons tous au Sénégal et, à ce titre, nous devons mettre à la disposition du pays toute notre compétence et notre intégrité afin qu’ensemble, nous œuvrions à la réussite de la réforme territoriale et du plan de développement économique de notre pays, pour répondre à l’appel du premier d’entre nous. Oumar SOW Responsable politique APR Pikine-Djiddah Thiaroye Kao Président Commission Veille et Marketing politique CCR
C’est assurément pendant la période des campagnes présidentielles, législatives, des célébrations religieuses et aujourd’hui des élections communales, qu’il choisit pour faire ses sorties médiatiques désordonnées et tenter de se rappeler au bon souvenir des sénégalais qu’il pense être son auditoire exclusif. Mais personne n’est dupe au Sénégal. Ces supercheries à grands éclats ne peuvent plus nous émouvoir. Au contraire, on se demande pourquoi Monsieur SECK n’essaie-t-il pas en toute responsabilité, d’expliquer ce qui ne va pas chez lui ? Pourquoi tous ses ténors à REWMI l’ont quitté? Dans un contexte politique normal, le minimum de respect aurait voulu qu’il expliquât aux sénégalais les raisons des défections dans son parti au lieu de tenter de soulever de faux problèmes pour éviter de montrer qu’il n’a plus suffisamment de crédibilité pour diriger tous ces grands cadres qui l’ont quitté, au nom de l’intérêt supérieur de la nation.
Parmi ceux-ci, on peut citer en guise d’exemple Me Nafissatou Diop Cisse, Youssou Diagne et Ousmane Thiongane. En outre, à moins qu’il ne s’imagine que les sénégalais ne réfléchissent pas ou qu’ils souffrent tous d’amnésie, il est trop facile de changer de camp et d’alliés au gré de ses intérêts. La diffusion inédite des terrifiantes cassettes depuis Reubeuss, les incessants balais entre le Palais et Point E, nuitamment, l’entrée et la sortie de BBY, etc... Un minimum d’intelligence aurait dû lui enseigner de ne pas débarquer au pays, presque en même temps que son mentor, devenu bourreau et persécuteur, consécutivement à l’épisode du fameux partage du butin, digne d’une saga du Far West, qui a fini à Reubeuss, pour lancer ses diatribes contre un gouvernement à la tête duquel se trouve son alter ego, le Président Macky SALL. En réalité, tout ceci n’est que le reflet de sa jalousie et de ses rancœurs, enfouies à jamais dans ce qui restera son rêve eternel : « idy4president@...» D’ailleurs, l’actuel locataire de l’avenue Léopold Sedar Senghor devrait reprendre cet identifiant en le renommant macky4president@... Cela lui revient de droit.
Il pourra toujours revendiquer son droit d’auteur car c’est tout ce qu’il mérite. Autant, il lui était permis de s’autoproclamer 4ème Président du Sénégal, autant il appartenait aux Sénégalais d’en décider et c’est ce qu’ils ont fait le jour du scrutin du 25 Mars 2012, par la volonté du bon Dieu (toutil moulkou man ta cha wa tounji oul moulkou man ta cha bi khairy hissab). Comment un étranger dans son propre pays peut-il trouver des solutions aux préoccupations de citoyens alors qu’il ne vit pas avec eux au quotidien ? Visiblement, Idrissa SECK est resté un éternel étudiant vacancier car il perpétue cette attitude d’étudiant que nous étions avec des faiblesses caractérisées par des réactions empreintes d’euphorie, de naïveté et un vécu insuffisant dans le quotidien des sénégalais. Au contraire, le Sénégal a besoin, à l’image du Président Macky SALL, de personnes ressources réfléchies, capables non seulement de concevoir mais de décliner une vision claire matérialisée par l’opérationnalisation des 21 projets concrets du Plan Sénégal Emergent dont le financement est bel et bien bouclé, n’en déplaise à l’éternel étudiant vacancier.
Conjugué à la réforme territoriale à travers l’Acte III de la décentralisation, le PSE constitue la clé de voûte de la croissance que l’état aura pour obligation de répartir entre les populations sur l’ensemble du territoire de notre pays. En effet, avec ces deux projets majeurs, le Sénégal se lance définitivement dans la voie de l’émergence et c’est un moment historique que tout SENEGALAIS, épris de son pays, devrait accompagner, fût-ce Monsieur Idrissa SECK, à qui le Président Macky a offert l’occasion d’inscrire son nom en lettre d’or dans les annales de l’histoire de notre SUNUGAL en l’appelant à travailler à ses cotés. Bien entendu, plutôt que de mettre la main à la pâte et montrer ce dont il est capable, il préférera rester un éternel théoricien qui aura choisi la solution de facilité en critiquant le combat des braves et des visionnaires, qui, eux, tentent de nous sortir de la pauvreté.
Les Sénégalais jugeront. Si le Sénégal nous appartient tous, il faut aussi savoir que nous appartenons tous au Sénégal et, à ce titre, nous devons mettre à la disposition du pays toute notre compétence et notre intégrité afin qu’ensemble, nous œuvrions à la réussite de la réforme territoriale et du plan de développement économique de notre pays, pour répondre à l’appel du premier d’entre nous. Oumar SOW Responsable politique APR Pikine-Djiddah Thiaroye Kao Président Commission Veille et Marketing politique CCR
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