Le leader de Rewmi a reprécisé la pensée du C25, qui a annoncé en début de semaine sa résolution d'empêcher le candidat sortant de battre campagne. Selon Idrissa Seck, il n'a jamais été question d'exécuter ce plan de manière violente, mais par des moyens politiques qui consistent à appeler les populations à "éliminer le Président sortant comme candidat. C'est-à-dire, à ne pas reconnaître sa candidature, à ne pas le recevoir, à ne pas voter pour lui, à ignorer la présence de ses bulletins de vote dans les urnes".
Selon l'ancien Premier ministre, "il n'a jamais été question pour l'opposition d'actions violentes, le recrutement de nervis...Nous n'avons pas dit ça. C'est un combat politique".
Selon l'ancien Premier ministre, "il n'a jamais été question pour l'opposition d'actions violentes, le recrutement de nervis...Nous n'avons pas dit ça. C'est un combat politique".
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