Le leader de Rewmi a reprécisé la pensée du C25, qui a annoncé en début de semaine sa résolution d'empêcher le candidat sortant de battre campagne. Selon Idrissa Seck, il n'a jamais été question d'exécuter ce plan de manière violente, mais par des moyens politiques qui consistent à appeler les populations à "éliminer le Président sortant comme candidat. C'est-à-dire, à ne pas reconnaître sa candidature, à ne pas le recevoir, à ne pas voter pour lui, à ignorer la présence de ses bulletins de vote dans les urnes".
Selon l'ancien Premier ministre, "il n'a jamais été question pour l'opposition d'actions violentes, le recrutement de nervis...Nous n'avons pas dit ça. C'est un combat politique".
Selon l'ancien Premier ministre, "il n'a jamais été question pour l'opposition d'actions violentes, le recrutement de nervis...Nous n'avons pas dit ça. C'est un combat politique".
Autres articles
-
Diplomatie : Ousmane Sonko entame une visite officielle de trois jours en Côte d’Ivoire à partir de ce jeudi
-
Échecs de Bathily, Senghor et Hott – Diplomatie sénégalaise : le déclin d’une influence jadis rayonnante
-
BAD : Amadou Hott félicite le président élu Sidi Ould Tah et remercie les autorités sénégalaises
-
Macky Sall rend hommage à Abdoulaye Wade à l’occasion de ses 99 ans
-
Benoît Sambou : "je crois profondément aux vertus du dialogue, par principe et par expérience"