L'Envoyée spéciale du Chef de l'Etat répond à Barthélémy Dias et Cie. «1,800 milliard de fausses factures de riz et mil attribués à son insu à un vendeur de café, ça n’a rien à voir avec la politique, c’est une infraction grave puni par le code pénal. Il en est d’ailleurs de même pour la falsification de documents d’état-civil, délit pour lequel est poursuivi Abdoul Mbaye suite à la saisine du Procureur par feue la présidente du Tribunal départemental de Dakar instruisant en son temps le dossier de divorce de l’ancien Premier ministre», tacle Aminata Touré.
Selon l’ancienne Première ministre avant l’avènement de Mahammad Abdallah Dionne dans les colonnes de «Libération», «il est grand temps que les politiciens arrêtent de crier au complot politique à chaque fois qu’ils pillent nos deniers publics et violent les lois du pays».
«En France, le candidat de la droite est en passe d’être inculpé pour salaires présumés fictifs de son épouse et de ses enfants. En Corée du Sud, la destitution de la présidente Park Geum-Hye pour faits de corruption vient d’être confirmée par la Cour constitutionnelle du pays. L’an dernier, à la même époque, la présidente Dilma Roussef du Brésil a perdu son poste pour complicité de financements politiques occultes. Au Sénégal, depuis 2012, le président Macky Sall a ouvert une nouvelle ère de reddition des comptes publics qui s’inscrit dans la culture devenue universelle de bonne gouvernance et de lutte contre l’impunité», tranche l’Envoyée spéciale du Chef de l’Etat.
Selon l’ancienne Première ministre avant l’avènement de Mahammad Abdallah Dionne dans les colonnes de «Libération», «il est grand temps que les politiciens arrêtent de crier au complot politique à chaque fois qu’ils pillent nos deniers publics et violent les lois du pays».
«En France, le candidat de la droite est en passe d’être inculpé pour salaires présumés fictifs de son épouse et de ses enfants. En Corée du Sud, la destitution de la présidente Park Geum-Hye pour faits de corruption vient d’être confirmée par la Cour constitutionnelle du pays. L’an dernier, à la même époque, la présidente Dilma Roussef du Brésil a perdu son poste pour complicité de financements politiques occultes. Au Sénégal, depuis 2012, le président Macky Sall a ouvert une nouvelle ère de reddition des comptes publics qui s’inscrit dans la culture devenue universelle de bonne gouvernance et de lutte contre l’impunité», tranche l’Envoyée spéciale du Chef de l’Etat.
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