Les jeunes de la banlieue, regroupés au sein de la Convergence Action Citoyenne, l’Association des jeunes de Minam, du Collectif des Jeunes Cadres de Guédiawaye, de l’Amicale Saint Kisito et And Sukali Gounass, section départementale du Forum Civil de Guédiawaye et qui ont fait face à la presse ce mercredi 29 décembre 2010 dans les locaux du Forum Civil sis à Médina ne sont pas content de la situation qui prévaut dans la banlieue notamment dans la ville de Guédiawaye. Fatigués de protester contre les délestages, ces jeunes indiquent qu’ils ne vont plus se laisser faire.
«A partir de maintenant nous prenons une résolution ferme. Nous allons prendre en charge nos propres problèmes que ce soit l’électricité ou les délestages» a soutenu le coordonnateur du Forum Civil de Guédiawaye, Birahim Seck avant d’ajouter: «il n’est plus question que la banlieue soit délestée. C’est une question nationale mais on ne peut pas parler au-delà de notre chère banlieue et je pense qu’il est l’heure pour les autres localités qu’ils puissent prendre leurs responsabilités». Il a fait comprendre qu’«il n’est plus question que quand on parle d’électricité que l’on attende que la banlieue puisse se prononcer et se soulever pour que les autres se prononcent». Selon lui, il faut que toutes les localités du Sénégal puissent exercer leur droit constitutionnel, de demander l’autorisation de descendre dans la rue pour marcher contre ce gouvernement. Il faut que toute la population se soulève, exerce le droit constitutionnel pour réclamer ce qui leur est dû, c'est-à-dire l’énergie.
Mr Seck de confier que «si vous faites une étude des textes qui régissent l’énergie, le Ministre de l’Energie a toutes les possibilités et toutes les capacités d’acheter le fuel nécessaire pour pouvoir alimenter le Sénégal. Il n’a pas les mains liées je vous ramène simplement à la loi de 98 qui régit les hydrocarbures, vous verrez que le Ministre a toute les possibilités de pouvoir acheter le fuel nécessaire. Pourquoi il ne le fait pas on ne sait pas».
Longtemps taxé de jeunes qui ne bougent pas, qui sont inertes, comme si on les avait anesthésié, ces jeunes estiment que «l’heure est venue et là nous défions le gouvernement, l’Etat du Sénégal: les jeunes de la banlieue ne vont plus accepter que des gens qui ne maitrisent rien de la situation puissent parler ou décider à leur place» tonne Birahim Seck.
Le coordonnateur du Forum Civil de Guédiawaye de faire savoir que «la banlieue a changé de physionomie. Ce n’est plus des personnes incultes qui sont là bas mais des personnes qui ont fait les bancs, qui ont fait des études universitaires comme eux qui savent analyser et diagnostiquer et peuvent proposer des solutions».
«A partir de maintenant nous prenons une résolution ferme. Nous allons prendre en charge nos propres problèmes que ce soit l’électricité ou les délestages» a soutenu le coordonnateur du Forum Civil de Guédiawaye, Birahim Seck avant d’ajouter: «il n’est plus question que la banlieue soit délestée. C’est une question nationale mais on ne peut pas parler au-delà de notre chère banlieue et je pense qu’il est l’heure pour les autres localités qu’ils puissent prendre leurs responsabilités». Il a fait comprendre qu’«il n’est plus question que quand on parle d’électricité que l’on attende que la banlieue puisse se prononcer et se soulever pour que les autres se prononcent». Selon lui, il faut que toutes les localités du Sénégal puissent exercer leur droit constitutionnel, de demander l’autorisation de descendre dans la rue pour marcher contre ce gouvernement. Il faut que toute la population se soulève, exerce le droit constitutionnel pour réclamer ce qui leur est dû, c'est-à-dire l’énergie.
Mr Seck de confier que «si vous faites une étude des textes qui régissent l’énergie, le Ministre de l’Energie a toutes les possibilités et toutes les capacités d’acheter le fuel nécessaire pour pouvoir alimenter le Sénégal. Il n’a pas les mains liées je vous ramène simplement à la loi de 98 qui régit les hydrocarbures, vous verrez que le Ministre a toute les possibilités de pouvoir acheter le fuel nécessaire. Pourquoi il ne le fait pas on ne sait pas».
Longtemps taxé de jeunes qui ne bougent pas, qui sont inertes, comme si on les avait anesthésié, ces jeunes estiment que «l’heure est venue et là nous défions le gouvernement, l’Etat du Sénégal: les jeunes de la banlieue ne vont plus accepter que des gens qui ne maitrisent rien de la situation puissent parler ou décider à leur place» tonne Birahim Seck.
Le coordonnateur du Forum Civil de Guédiawaye de faire savoir que «la banlieue a changé de physionomie. Ce n’est plus des personnes incultes qui sont là bas mais des personnes qui ont fait les bancs, qui ont fait des études universitaires comme eux qui savent analyser et diagnostiquer et peuvent proposer des solutions».