Présentant une étude sur la situation des enfants vulnérables, le Directeur de l’agence Emergence Moubarack Lô est revenu sur une forme de mendicité qu’il a tenu à dénoncer. En effet, à l’en croire, il y a des gens qui se cache derrière les «talibés», derrière les «daaras» (écoles coraniques) pour se faire des sous. Il y a des forces organisées, des industries de la mendicité et plus explicitement a-t-il ajouté des «daaras» qui ne sont là que de nom.
Il a invité l’Etat à appuyer les «daaras» de référence, leur donner de la légitimité et ainsi pouvoir recaser tout enfant de la rue. Moubarack a aussi souligné qu’ «il existe une loi qui stipule qu’il est obligatoire pour tout enfant de 6 à 16 ans d’aller à l’école».
De l’avis de l’inspecteur de ces écoles coraniques, «il y a une prolifération des daaras. Plusieurs d’entre eux sont dans un état précaire, dans le dénuement total. Ce qui favorise selon lui une vulnérabilité des enfants et appelle à un plan stratégique permettant de résoudre ce problème».
Mme Guitele Niccoleau, de l’USAID/EDB a souligné que «cette étude est commanditée pour faire l’état des lieux au niveau des structures d’accueil, des structures de formation, des «daaras», des enfants de la rue, des talibés, des associations de maîtres coraniques et des différents acteurs autour de la problématique des enfants vulnérables dans les régions de Dakar, Louga, Saint Louis et Matam».
Il a invité l’Etat à appuyer les «daaras» de référence, leur donner de la légitimité et ainsi pouvoir recaser tout enfant de la rue. Moubarack a aussi souligné qu’ «il existe une loi qui stipule qu’il est obligatoire pour tout enfant de 6 à 16 ans d’aller à l’école».
De l’avis de l’inspecteur de ces écoles coraniques, «il y a une prolifération des daaras. Plusieurs d’entre eux sont dans un état précaire, dans le dénuement total. Ce qui favorise selon lui une vulnérabilité des enfants et appelle à un plan stratégique permettant de résoudre ce problème».
Mme Guitele Niccoleau, de l’USAID/EDB a souligné que «cette étude est commanditée pour faire l’état des lieux au niveau des structures d’accueil, des structures de formation, des «daaras», des enfants de la rue, des talibés, des associations de maîtres coraniques et des différents acteurs autour de la problématique des enfants vulnérables dans les régions de Dakar, Louga, Saint Louis et Matam».