Le Mouvement de la réforme pour le développement social (Mrds) a effectué une visite de proximité pour la campagne des élections législatives du 1er juillet prochain dans la banlieue dans le département de Pikine. Hier, mardi 12 juin, la caravane a sillonné le Marché central au poisson, Icotaf, Marché zinc, Thiaroye Azur (l’université Al Falah), Grand Mbao, les Parcelles Assainies de keur Massar. A cet effet, le leader dudit mouvement n’a pas mâché ses mots sur la question de la dépénalisation de l’homosexualité au Sénégal.
« Nous ne transigeons pas sur certaines questions de moralité, d’éthique […], notre religion ne nous permettent pas de concevoir même le dépôt d’une loi visant à dépénaliser l’homosexualité », a déclaré Imam Mbaye Niang, tête de liste du Mrds. Cependant, les réformistes comptent s’opposer à cette question qui est au cœur de tous les débats, en ayant une majorité écrasante au Parlement. « Notre objectif c’est d’avoir une présence massive à l’Assemblée nationale au minimum un groupe parlementaire car il sera le théâtre de conflits idéologiques très intenses », a poursuivi le chef de file du mouvement.
Par ailleurs, il est revenu sur le quotidien des populations de la banlieue avec les problèmes du chômage des jeunes, mais aussi et surtout sur les inondations qui sont récurrentes. « Il faut une large concertation à laquelle on fera appel à des partenaires extérieurs qui ont une expérience avérée en la matière pour une solution définitive du problème des inondations dans la banlieue », a-t-il exhorté, avec la tenue d’assises nationales sur la question.
Sudonline
« Nous ne transigeons pas sur certaines questions de moralité, d’éthique […], notre religion ne nous permettent pas de concevoir même le dépôt d’une loi visant à dépénaliser l’homosexualité », a déclaré Imam Mbaye Niang, tête de liste du Mrds. Cependant, les réformistes comptent s’opposer à cette question qui est au cœur de tous les débats, en ayant une majorité écrasante au Parlement. « Notre objectif c’est d’avoir une présence massive à l’Assemblée nationale au minimum un groupe parlementaire car il sera le théâtre de conflits idéologiques très intenses », a poursuivi le chef de file du mouvement.
Par ailleurs, il est revenu sur le quotidien des populations de la banlieue avec les problèmes du chômage des jeunes, mais aussi et surtout sur les inondations qui sont récurrentes. « Il faut une large concertation à laquelle on fera appel à des partenaires extérieurs qui ont une expérience avérée en la matière pour une solution définitive du problème des inondations dans la banlieue », a-t-il exhorté, avec la tenue d’assises nationales sur la question.
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