Un ancien employé de l'Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), M. Diagne, a été interpellé pour « escroquerie ». Le mis en cause est accusé d’avoir promis des visas à des candidats à l’immigration irrégulière. Selon le journal Source A, le sieur Diagne informaticien de profession a été traduit devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar suite à la plainte de M. M. Niang, un jeune homme originaire du Saloum.
Ce dernier avait réuni la somme de 4 millions de francs CFA grâce à l'aide de ses parents et a confié cet argent à M. Diagne dans l’espoir d’obtenir un visa pour l’Italie. Cependant, au lieu de recevoir son visa, M. Niang n’a essuyé que des promesses non tenues. Las d'attendre, il a décidé de porter l'affaire en justice.
Attrait à la barre du tribunal de Dakar, l’agent de l’AIBD a admis avoir reçu les 4 millions de francs CFA, mais a nié avoir escroqué M. Niang. Il a expliqué que l’argent avait été remis à un certain M. Diop, un ancien collègue qui lui aurait proposé ce "business rentable" grâce à des relations supposées dans des ambassades de pays comme les États-Unis et ceux de l’espace Schengen.
Le mis en cause a également mentionné avoir déjà remboursé 500 000 F CFA à la victime et a assuré que sa famille s’efforçait de restituer le reste de l’argent. Le tribunal l’a finalement condamné à deux (2) mois de prison ferme et à restituer les 3,5 millions de francs CFA restants à la victime.
Ce dernier avait réuni la somme de 4 millions de francs CFA grâce à l'aide de ses parents et a confié cet argent à M. Diagne dans l’espoir d’obtenir un visa pour l’Italie. Cependant, au lieu de recevoir son visa, M. Niang n’a essuyé que des promesses non tenues. Las d'attendre, il a décidé de porter l'affaire en justice.
Attrait à la barre du tribunal de Dakar, l’agent de l’AIBD a admis avoir reçu les 4 millions de francs CFA, mais a nié avoir escroqué M. Niang. Il a expliqué que l’argent avait été remis à un certain M. Diop, un ancien collègue qui lui aurait proposé ce "business rentable" grâce à des relations supposées dans des ambassades de pays comme les États-Unis et ceux de l’espace Schengen.
Le mis en cause a également mentionné avoir déjà remboursé 500 000 F CFA à la victime et a assuré que sa famille s’efforçait de restituer le reste de l’argent. Le tribunal l’a finalement condamné à deux (2) mois de prison ferme et à restituer les 3,5 millions de francs CFA restants à la victime.