L’immolation par le feu de Ameth Tidiane Bâ ce vendredi 25 février 2011, aux abords de la Présidence de la République, a surpris plus d’un. En effet, après l’acte d’Omar Bocoum le 18 février dernier, des policiers rodent autour du Palais présidentiel, en permanence, pour surveiller les mouvements suspects des passagers.
Malheureusement, le natif de Sokone, habitant à l’Unité 1 des Parcelles assainies a usé de stratégie pour échapper à leur vigilance. Toutefois, un témoin a assisté par hasard, à ce moment douloureux.
Ça nous a surpris. «On venait juste de sortir de chez nous et nous sommes tombés sur la scène», a témoigné un homme au micro de nos confrères de Walf/Tv qui indique qu’il était 16 heures 6 minutes quand Ameth Tidiane Bâ souffrait sous son feu.
«Il était mince et un peu élancé», décrit-il. «Quand nous l’avons vu, il vivait encore. Toutefois, je crois que son cas est désespéré», tranche, fatal, le témoin.
Malheureusement, le natif de Sokone, habitant à l’Unité 1 des Parcelles assainies a usé de stratégie pour échapper à leur vigilance. Toutefois, un témoin a assisté par hasard, à ce moment douloureux.
Ça nous a surpris. «On venait juste de sortir de chez nous et nous sommes tombés sur la scène», a témoigné un homme au micro de nos confrères de Walf/Tv qui indique qu’il était 16 heures 6 minutes quand Ameth Tidiane Bâ souffrait sous son feu.
«Il était mince et un peu élancé», décrit-il. «Quand nous l’avons vu, il vivait encore. Toutefois, je crois que son cas est désespéré», tranche, fatal, le témoin.