Le Collectif qui a dressé un bilan de 25 victimes dont 09 morts et 16 blessés, peine à comprendre pourquoi des témoins oculaires de ces évènements ne réagissent plus aujourd’hui qu’ils sont dans le gouvernement.
Toutefois, appuyées par la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), les familles des victimes de violences préélectorales et électorales, informe la RFM, envisagent de descendre dans la rue dans les jours à venir pour dénoncer le manque de réaction de l’Etat dans cette affaire.