«Le livre éclaire la pensée. C’est pourquoi l’écrit transcende les plus récentes techniques de communication comme l’audiovisuel. Là où la caméra décrit, où le micro restitue, le livre prolonge l’évènement, le met en perspective et en prospective, l’approfondit et l’élargit aux dimensions d’une compréhension globale. Il est totalité». Cette citation de Léopold Sédar Senghor, l’ONG Enda Tiers monde l’a bien comprise. C’est pourquoi il a crée un centre de ressources multimédia sur l’environnement et le développement qui dispose d’un fonds documentaire de 20000 ouvrages, 429 dossiers de séminaires, colloques et congrès, de 322 dossiers de presse vivants, régulièrement mis à jour. Mais aussi d’une base de données commune de 20602 références, d’une base de données sur les plantes médicinales d’un potentiel de 100 fiches portant sur 100 plantes, de 14 postes d’accès à l’Internet etc.
En livrant ce centre qui est maintenant ouvert au public, le président d’honneur du conseil d’administration d’Enda Tiers Monde, Cheikh Hamidou Kane a indiqué que son organisation et la coopération française "espèrent contribuer à la démarche éminemment formatrice qui consiste à «apprendre à apprendre» afin que tout au long de la vie et devant chaque situation, on sache ce qu’il faut chercher, dès lors qu’on dispose de l’infrastructure documentaire qui permet de mener des investigations pertinentes".
Pour le chef du service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France, Jean-Luc Le Bras, ce projet est venu à son heure car elle affiche une volonté d’Enda de s’affirmer, de se réorganiser et de s’envoler. Il a également recommandé au personnel d'Enda Tiers Monde de ne pas s’arrêter là, de persévérer et de poursuivre la formation.
En livrant ce centre qui est maintenant ouvert au public, le président d’honneur du conseil d’administration d’Enda Tiers Monde, Cheikh Hamidou Kane a indiqué que son organisation et la coopération française "espèrent contribuer à la démarche éminemment formatrice qui consiste à «apprendre à apprendre» afin que tout au long de la vie et devant chaque situation, on sache ce qu’il faut chercher, dès lors qu’on dispose de l’infrastructure documentaire qui permet de mener des investigations pertinentes".
Pour le chef du service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France, Jean-Luc Le Bras, ce projet est venu à son heure car elle affiche une volonté d’Enda de s’affirmer, de se réorganiser et de s’envoler. Il a également recommandé au personnel d'Enda Tiers Monde de ne pas s’arrêter là, de persévérer et de poursuivre la formation.