Déterminés dans leur combat, les étudiants de l’ex Ecole Normale Supérieure (ENS) n’ont pas tremblé devant les policiers. Face aux grenades lacrymogènes, ils ont rétorqué par des jets de pierres. « Ils ne nous font que des promesses et cela suffit », a lâché au micro de la RFM, un délégué du nom d’Amadou Touré. Toutefois, s’ils ne sont pas payés avant les fêtes de noël, ces étudiants risquent de ne percevoir leurs bourses qu’en mi-janvier. Ce qui explique davantage leur courroux.
Par conséquent, avec tout le calvaire qu’ils subissent en ce moment, ces enseignants en herbe comptent saisir l’inauguration dans les prochains jours d’un nouvel amphithéâtre à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH) par le président de la République, pour se faire entendre. Ils envisagent de saboter la cérémonie si toutefois leur situation n’est pas décantée.
Par conséquent, avec tout le calvaire qu’ils subissent en ce moment, ces enseignants en herbe comptent saisir l’inauguration dans les prochains jours d’un nouvel amphithéâtre à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH) par le président de la République, pour se faire entendre. Ils envisagent de saboter la cérémonie si toutefois leur situation n’est pas décantée.