«Nous sommes venus pour partager et rendre grâce à Dieu parce que c’est Lui Seul qui peut infliger à l’être humain de telles sanctions très lourdes. Au nom du président de la République, nous sommes venus partager cette douleur atroce qui a frappé les Parcelles Assainies à travers cet incendie mortel qui emporte cinq (5) âmes. Tous les cinq (5) étant de même père et de même mère, c’est quand même très douloureux», réagit le ministre d’Etat, Mbaye Ndiaye.
Mariama Sarr peine à trouver ses mots. «Un accident, c’est ce qui arrive par malheur. Comme le ministre d’Etat, Mbaye Ndiaye l’a dit, nous ne pouvons que constater. Je ne peux même pas exprimer les sentiments que j’éprouve actuellement. Ce que je peux dire, c’est que c’est très dur que toute une famille soit décimée suite à un incendie. Nous présentons nos condoléances. Mais en tant que ministre en charge de la Famille, de la Femme et de l’Enfance, ce sont des enfants qui sont partis en plus des mineurs, c’est vraiment un sentiment de tristesse qu’on éprouve. On cherche même les mots pour en parler», dit-elle.
Avant de lancer «un appel à toutes les familles pour qu’on puisse être beaucoup plus prudents par rapport aux erreurs qui sont parfois fatales, d’être un peu plus prudents par rapport aux comportements pour éviter que de telles choses se reproduisent».
«Son excellence, le président de la République, à chaque fois qu’il y a ces malheurs qui frappent une partie de la Nation, marque sa présence, celle de la Nation pour partager avec les victimes. Ici, vous comprenez bien que c’est une famille presque décimée, la prise en charge, c’est trop dire mais il fera le nécessaire pour partager cette douleur avec les parents et les ayant droits», assure l’ancien ministre de l’Intérieur.
Les autorités étatiques étaient au chevet de la famille des victimes de l’incendie qui s’est déclaré ce mercredi à l’Unité 17 des Parcelles Assainies.
Mariama Sarr peine à trouver ses mots. «Un accident, c’est ce qui arrive par malheur. Comme le ministre d’Etat, Mbaye Ndiaye l’a dit, nous ne pouvons que constater. Je ne peux même pas exprimer les sentiments que j’éprouve actuellement. Ce que je peux dire, c’est que c’est très dur que toute une famille soit décimée suite à un incendie. Nous présentons nos condoléances. Mais en tant que ministre en charge de la Famille, de la Femme et de l’Enfance, ce sont des enfants qui sont partis en plus des mineurs, c’est vraiment un sentiment de tristesse qu’on éprouve. On cherche même les mots pour en parler», dit-elle.
Avant de lancer «un appel à toutes les familles pour qu’on puisse être beaucoup plus prudents par rapport aux erreurs qui sont parfois fatales, d’être un peu plus prudents par rapport aux comportements pour éviter que de telles choses se reproduisent».
«Son excellence, le président de la République, à chaque fois qu’il y a ces malheurs qui frappent une partie de la Nation, marque sa présence, celle de la Nation pour partager avec les victimes. Ici, vous comprenez bien que c’est une famille presque décimée, la prise en charge, c’est trop dire mais il fera le nécessaire pour partager cette douleur avec les parents et les ayant droits», assure l’ancien ministre de l’Intérieur.
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