Tout a commencé, quand le père de F. D s'est rendu à la police pour déposer une plainte pour « viol » sur sa fille mineure âgée de 15 ans. Les policiers enquêteurs du commissariat de Yamatogne (Ziguinchor), se saisissent de l'affaire et ouvrent une enquête. Le nommé S. Diatta, qui a été cité en premier dans l'affaire par F.D, va être vite appréhendé par les policiers.
«S. Diatta, un jour, quand je suis revenue de mon école, m'a invité dans sa chambre avant de m'abuser. Et pourtant, il m'avait dit qu'il allait m'envoyer à la boutique. Quand il a fini de se soulager, il m'a fait porter d'autres habits avant de me menacer de mort si je racontais notre «histoire» à mon père», explique F. D aux policiers enquêteurs.
Prié de s'expliquer sur ces accusations graves contre sa personne par la fille F.D, le mis en cause, ébéniste de profession, a nié les faits. Mise en confiance et à l'aise dans l'enquête par les flics, la victime poursuit : «Je dois ajouter aussi que mon père avec qui je partage la chambre, fleuretait avec moi et me doigtait les nuits. Il m'a même abusait sexuellement avant de me dire de ne pas raconter notre aventure à personne. Il est tout le temps ivre», a confié encore F.D aux policiers enquêteurs en charge du dossier.
Interrogé, son père se défend : «Je rejette ces faits graves, ces accusations que ma fille a porté contre moi», a dit B. Dramé lors de l'enquête. Suite une réquisition, la gynécologue de l'hôpital de Ziguinchor a, dans ses conclusions a révélé l'élève F. D a été bel et bien victime de viol.
Présentés au Procureur de la République, l'artiste musicien B. Dramé et l'ébéniste S. Diatta ont été écroués pour inceste, viol, intimidation et menaces de mort.
«S. Diatta, un jour, quand je suis revenue de mon école, m'a invité dans sa chambre avant de m'abuser. Et pourtant, il m'avait dit qu'il allait m'envoyer à la boutique. Quand il a fini de se soulager, il m'a fait porter d'autres habits avant de me menacer de mort si je racontais notre «histoire» à mon père», explique F. D aux policiers enquêteurs.
Prié de s'expliquer sur ces accusations graves contre sa personne par la fille F.D, le mis en cause, ébéniste de profession, a nié les faits. Mise en confiance et à l'aise dans l'enquête par les flics, la victime poursuit : «Je dois ajouter aussi que mon père avec qui je partage la chambre, fleuretait avec moi et me doigtait les nuits. Il m'a même abusait sexuellement avant de me dire de ne pas raconter notre aventure à personne. Il est tout le temps ivre», a confié encore F.D aux policiers enquêteurs en charge du dossier.
Interrogé, son père se défend : «Je rejette ces faits graves, ces accusations que ma fille a porté contre moi», a dit B. Dramé lors de l'enquête. Suite une réquisition, la gynécologue de l'hôpital de Ziguinchor a, dans ses conclusions a révélé l'élève F. D a été bel et bien victime de viol.
Présentés au Procureur de la République, l'artiste musicien B. Dramé et l'ébéniste S. Diatta ont été écroués pour inceste, viol, intimidation et menaces de mort.
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