La Chine a menacé dimanche le Japon de mesures de "retorsion fortes" après la décision le même jour d'un tribunal japonais de prolonger le maintien en détention du capitaine d'un chalutier chinois arraisonné par Tokyo le 7 septembre.
"Si le Japon agit de manière délibérée, faisant erreur après erreur, la Chine prendra des mesures de retorsion fortes et le Japon devra en subir toutes les conséquences", a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ma Zhaoxu, dans un communiqué.
Un tribunal japonais a autorisé dimanche la prolongation de 10 jours, soit jusqu'au 29 septembre, de la mise en détention du capitaine, Zhan Qixiong, 41 ans, arrêté au lendemain de l'incident maritime, selon un porte-parole du bureau des procureurs d'Ishigaki.
La Chine exige la libération immédiate du capitaine de ce chalutier chinois arraisonné par Tokyo le 7 septembre dans une zone de la mer de Chine orientale revendiquée par les deux pays.
Le chalutier chinois était auparavant entré en collision avec deux patrouilleurs nippons près d'îlots situés à mi-distance entre Taïwan et Okinawa, au Japon.
Samedi, une centaine de Chinois avaient manifesté à Pékin et Shanghai près de l'ambassade et du consulat du Japon, alors que cet incident maritime dans des eaux contestées a viré à la crise diplomatique entre les deux pays.
"Si le Japon agit de manière délibérée, faisant erreur après erreur, la Chine prendra des mesures de retorsion fortes et le Japon devra en subir toutes les conséquences", a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ma Zhaoxu, dans un communiqué.
Un tribunal japonais a autorisé dimanche la prolongation de 10 jours, soit jusqu'au 29 septembre, de la mise en détention du capitaine, Zhan Qixiong, 41 ans, arrêté au lendemain de l'incident maritime, selon un porte-parole du bureau des procureurs d'Ishigaki.
La Chine exige la libération immédiate du capitaine de ce chalutier chinois arraisonné par Tokyo le 7 septembre dans une zone de la mer de Chine orientale revendiquée par les deux pays.
Le chalutier chinois était auparavant entré en collision avec deux patrouilleurs nippons près d'îlots situés à mi-distance entre Taïwan et Okinawa, au Japon.
Samedi, une centaine de Chinois avaient manifesté à Pékin et Shanghai près de l'ambassade et du consulat du Japon, alors que cet incident maritime dans des eaux contestées a viré à la crise diplomatique entre les deux pays.