Une Sénégalaise est actuellement en prison à Jakarta, en Indonésie, pour trafic de drogue. A. Dieng a été arrêtée le 20 févier dernier à l’aéroport de Jakarta, en provenance de Dakar. Dans ses affaires, 1,5 kg de cocaïne ont été découverts, dissimulés dans des pots de tomates, selon les informations rapportées par le journal le Témoin.
Prise la main dans le sac, notre compatriote ne pouvait que coopérer avec les policiers indonésiens pour faire tomber le destinataire de la marchandise. C’est ainsi qu’un piège a été tendu au destinataire, qui a mordu à l’hameçon. Jugée le 27 février, en même temps que son acolyte de nationalité nigériane, elle a écopé de 11 ans de prison ferme.
Depuis lors, elle purge sa peine à la prison pour femmes de Jakarta. Les autorités indonésiennes ont aussitôt alerté leurs homologues sénégalaises mais n’ont pas eu la réaction escomptée. A travers un mail envoyé le 17 décembre dernier, l’association des Sénégalais établis en Indonésie s’est à son tour rapprochée de l’ambassade du Sénégal au Japon qui couvre en même temps l’Indonésie.
Jusqu’à la rédaction de ces lignes, pas de réponse. Dans le même temps, la représentation gambienne en Indonésie a envoyé le président de l’Association des ressortissants de son pays pour s’enquérir de la situation d’une citoyenne gambienne incarcérée pour des faits similaires.
Dans cette prison, les femmes originaires d’Afrique sub-saharienne seraient une dizaine. Les Sénégalais installés dans ce pays d’Asie ne comprennent pas cette inertie de leur ambassadeur.
Contacté par nos confrères, le nouveau directeur des Sénégalais de l’Extérieur a promis de s’investir personnellement pour un dénouement heureux de cette affaire. Avant son voyage en Indonésie, A. Dieng a travaillé dans deux restaurants huppés de Dakar. C’est d’ailleurs dans le dernier, implanté aux Almadies qu’elle a fait la connaissance de l’homme qui lui aurait remis la drogue à transporter.
Prise la main dans le sac, notre compatriote ne pouvait que coopérer avec les policiers indonésiens pour faire tomber le destinataire de la marchandise. C’est ainsi qu’un piège a été tendu au destinataire, qui a mordu à l’hameçon. Jugée le 27 février, en même temps que son acolyte de nationalité nigériane, elle a écopé de 11 ans de prison ferme.
Depuis lors, elle purge sa peine à la prison pour femmes de Jakarta. Les autorités indonésiennes ont aussitôt alerté leurs homologues sénégalaises mais n’ont pas eu la réaction escomptée. A travers un mail envoyé le 17 décembre dernier, l’association des Sénégalais établis en Indonésie s’est à son tour rapprochée de l’ambassade du Sénégal au Japon qui couvre en même temps l’Indonésie.
Jusqu’à la rédaction de ces lignes, pas de réponse. Dans le même temps, la représentation gambienne en Indonésie a envoyé le président de l’Association des ressortissants de son pays pour s’enquérir de la situation d’une citoyenne gambienne incarcérée pour des faits similaires.
Dans cette prison, les femmes originaires d’Afrique sub-saharienne seraient une dizaine. Les Sénégalais installés dans ce pays d’Asie ne comprennent pas cette inertie de leur ambassadeur.
Contacté par nos confrères, le nouveau directeur des Sénégalais de l’Extérieur a promis de s’investir personnellement pour un dénouement heureux de cette affaire. Avant son voyage en Indonésie, A. Dieng a travaillé dans deux restaurants huppés de Dakar. C’est d’ailleurs dans le dernier, implanté aux Almadies qu’elle a fait la connaissance de l’homme qui lui aurait remis la drogue à transporter.