Influences Magazine prime les 50 personnalités les plus influentes de l'Afrique
Les 50 personnalités les plus influentes de l’Afrique de l’Ouest ont été primées samedi. Cette édition 2020 du Gala d'Influences Magazine, est portée sur le thème : « Les défis du développement communautaire en Afrique de l’Ouest ». Selon Ismaïla Badji, le président d'Influences Magazine, cette cérémonie a été organisée pour promouvoir le leadership africain, mais surtout encourager et de magnifier les actions que réalisent ces braves hommes et femmes nominés.
« L’organisation de cette rencontre a été animée par notre souhait de promouvoir le leadership africain, mais surtout d’encourager et de magnifier les actions que réalisent ces braves hommes et femmes. Cet événement est une opportunité pour nous de saluer votre détermination. Nombre d’entre vous représenter l’Afrique au niveau international. Chacun dans son domaine, vous inspirez des générations et transmettez des messages au peuple participant ainsi au développement de l’Afrique et à la conscientisation de sa jeunesse. D’où le thème de cette rencontre qui porte sur les défis du développement communautaire en Afrique de l’Ouest », a déclaré Ismaïla Badji.
Poursuivant ces propos, le président d’Influences Magazine soutient que le développement du continent africain passera par les Africains. « Personne ne peut construire l’Afrique à notre place. Ce sont les Africains eux-mêmes qui doivent relever ce défi. L’ère où on attendait les autorités est révolue », dit-il.
Marraine de l’événement, le professeur Amsatou Sow Sidibé, appelle la société civile à la participation au coté de l’Etat, et dans la stabilité des communautés. Car pour lui, le mot développement implique tout ce qui peut assurer le développement économique, la sécurité humaine, la paix. Car pour elle, il y a une interdépendance entre le développement, la démocratie, les droits humains, et la paix.
Le professeur a aussi évoqué la protection des droits des personnes. Aux yeux d’Amsatou Sow Sidibé, « une communauté ne peut rien réussir si les droits humains ne sont pas respectés ». Pour elle, il appartient à chaque communauté d’exiger de l’Etat que les droit humains soient respectés.
Elle a aussi profité de l’occasion pour alerter sur les violences entre les forces de l’ordre et les 253 victimes de démolition de maisons de Gadaye. « Au Sénégal il n’y pas de place pour les violences policières. Le développement communautaire suppose le leadership », martèle la première femme sénégalaise agrégée en sciences juridiques et politiques. Plusieurs personnalités ont également marqué de leur présence à la rencontre.
Dimanche 28 Juin 2020 08:33
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