Ce bilan provisoire est arrêté à 10 heures. Il fait état de 15 personnes décédées, dont 06 à Niamakoro, 06 à Kalaban-Coro, 02 à Missabougou et 01 à Faladiè. A ce bilan il faut ajouter 2 blessés. En plus des quartiers ayant enregistré des cas de décès, d’autres ont été submergés. Il s’agit entre autres, de Banconi, Daoudabougou, Bacodjicoroni, Tièbani et Kabala, Yirimadio, Kalaban-Coura et Sotuba.
Des équipes de recherche et de sauvetage sont d’ores et déjà sur le terrain pour porter secours aux populations en détresse. Selon un communiqué du gouvernement, une réunion d’urgence de la Plateforme nationale de Réduction des Risques et Catastrophes a été tenue ce jour à 09 heures. Elle était coprésidée par les ministres de la sécurité et de la protection civile, de la Solidarité et de Lutte contre la Pauvreté, de la Santé et des Affaires sociales, de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable.
« En cette douloureuse circonstance, le Gouvernement présente ses condoléances aux familles des disparus et souhaite prompt rétablissement aux blessés », note le communiqué, qui exhorte les populations à observer les mesures de prudence qui s’imposent en ce début d’hivernage. Toute évolution de la situation sera communiquée ultérieurement, ajoute le gouvernement.
Des maisons inondées, des voitures emportées par des courants d’eau dans les caniveaux, ainsi que des affaires personnelles détruites, sont entre autres les dégâts causés par les premières gouttes de pluie dans la capitale malienne. Face à cette situation, les citoyens interpellent les autorités à prendre des mesures drastiques. Toutefois certains d’entre eux ne déclinent pas leurs propres responsabilités.
Selon certains environnementalistes, l’occupation anarchique, l’insuffisance des voies d’évacuation des eaux de ruissellement et le manque de disposition de curage des caniveaux sont entre autres les causes d’inondation. Ils demandent à l’État de prendre des dispositions face à l’extension de la ville.
Des équipes de recherche et de sauvetage sont d’ores et déjà sur le terrain pour porter secours aux populations en détresse. Selon un communiqué du gouvernement, une réunion d’urgence de la Plateforme nationale de Réduction des Risques et Catastrophes a été tenue ce jour à 09 heures. Elle était coprésidée par les ministres de la sécurité et de la protection civile, de la Solidarité et de Lutte contre la Pauvreté, de la Santé et des Affaires sociales, de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable.
« En cette douloureuse circonstance, le Gouvernement présente ses condoléances aux familles des disparus et souhaite prompt rétablissement aux blessés », note le communiqué, qui exhorte les populations à observer les mesures de prudence qui s’imposent en ce début d’hivernage. Toute évolution de la situation sera communiquée ultérieurement, ajoute le gouvernement.
Des maisons inondées, des voitures emportées par des courants d’eau dans les caniveaux, ainsi que des affaires personnelles détruites, sont entre autres les dégâts causés par les premières gouttes de pluie dans la capitale malienne. Face à cette situation, les citoyens interpellent les autorités à prendre des mesures drastiques. Toutefois certains d’entre eux ne déclinent pas leurs propres responsabilités.
Selon certains environnementalistes, l’occupation anarchique, l’insuffisance des voies d’évacuation des eaux de ruissellement et le manque de disposition de curage des caniveaux sont entre autres les causes d’inondation. Ils demandent à l’État de prendre des dispositions face à l’extension de la ville.
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