Le Projet de gestion intégrée des inondations au Sénégal (PGIIS) a réalisé une cartographie détaillée permettant d’avoir une meilleure connaissance et d’identifier sept sites à haut risque d’inondation à travers le pays, a déclaré son responsable de suivi évaluation, Hamidou Konaté.
Le responsable du suivi évaluation du projet de gestion intégrée des inondations (PGIIS) faisait une présentation de l’état d’avancement du projet notamment sur les activités relatives à la cartographie, lors d’un atelier du comité technique consacré à l’avancement du projet. L’activité porte également sur la définition des modalités d’accès des données via la plateforme dédiée à la cartographie du risque d’inondations.
Selon lui, « cette cartographie détaillée qui a été réalisée, permet d’avoir une précision de 50 cm dans ces sept sites pilotes à savoir la zone de Grand-Dakar qui englobe Dakar, Tivaouane et Joal, la zone de Touba, Diourbel, la zone de Kaffrine, Kaolack et les zones de Matam, Kolda, Tambacounda et Kédougou ».
Cela permettra également aux autorités de l’urbanisme ou de l’autorité administrative au niveau décentralisé, de pouvoir en faire un outil d’aide à la prise de décision. D ’avoir également, une meilleure connaissance du risque. « On a développé des modélisations sur des retours de pluies de plus de 10 ans, 30 ans, 50 ans. On peut savoir maintenant avec quelle quantité de pluie, les espaces qui seront impactés », a ajouté Hamidou Konaté.
D’ailleurs, « le PGIIS travaille avec l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) pour voir comment intégrer ces données dans les bulletins météo. De plus, avec le radar qui va être implanté au niveau de Diamniadio, on saura maintenant quand est-ce qu’il va pleuvoir, sur quel espace précisément et quelle quantité de pluie est attendue et l’autorité pourra prendre les dispositions idoines », a avancé M. Konaté.
Le responsable du suivi évaluation du projet de gestion intégrée des inondations (PGIIS) faisait une présentation de l’état d’avancement du projet notamment sur les activités relatives à la cartographie, lors d’un atelier du comité technique consacré à l’avancement du projet. L’activité porte également sur la définition des modalités d’accès des données via la plateforme dédiée à la cartographie du risque d’inondations.
Selon lui, « cette cartographie détaillée qui a été réalisée, permet d’avoir une précision de 50 cm dans ces sept sites pilotes à savoir la zone de Grand-Dakar qui englobe Dakar, Tivaouane et Joal, la zone de Touba, Diourbel, la zone de Kaffrine, Kaolack et les zones de Matam, Kolda, Tambacounda et Kédougou ».
Cela permettra également aux autorités de l’urbanisme ou de l’autorité administrative au niveau décentralisé, de pouvoir en faire un outil d’aide à la prise de décision. D ’avoir également, une meilleure connaissance du risque. « On a développé des modélisations sur des retours de pluies de plus de 10 ans, 30 ans, 50 ans. On peut savoir maintenant avec quelle quantité de pluie, les espaces qui seront impactés », a ajouté Hamidou Konaté.
D’ailleurs, « le PGIIS travaille avec l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) pour voir comment intégrer ces données dans les bulletins météo. De plus, avec le radar qui va être implanté au niveau de Diamniadio, on saura maintenant quand est-ce qu’il va pleuvoir, sur quel espace précisément et quelle quantité de pluie est attendue et l’autorité pourra prendre les dispositions idoines », a avancé M. Konaté.