Des inondations ont frappé plusieurs régions du Sénégal, notamment Matam, Saint-Louis et Tambacounda, ainsi que certaines zones du Sahel, notamment au Burkina Faso, au Mali et au Niger, causant des centaines de pertes en vies humaines, des milliers de personnes ont été affectées et de vastes superficies agricoles détruites.
Dans un communiqué, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) appelle les « autorités sénégalaises à intégrer le principe de précaution dans la gestion des hivernages afin d'éviter de futures catastrophes ».
Tout en saluant les efforts consentis par l'Etat, et qui devraient être consolidés du fait des effets à venir sur les systèmes éducatif et sanitaire des régions affectées, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) demandent aux autorités sénégalaises de faire, dorénavant, du principe de précaution, un outil central dans la gestion des hivernages.
La RADDHO rappelle également que des prévisions saisonnières avaient averti des risques d'inondations.
« Le Forum 2024 des prévisions saisonnières pour les zones soudanienne et sahélienne de l'Afrique de l'Ouest et du Tchad (PRESASS 2024) avait insisté, dès le 26 avril 2024, sur les risques élevés d'inondation pouvant entrainer des pertes agricoles, de biens matériels et en vies animales et humaines dans la région », peut-on lire dans le communiqué.
Toutefois, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme appelle à renforcer les infrastructures et sensibiliser les communautés pour prévenir de tels désastres.
« La RADDHO demande à toutes les organisations de la société civile de travailler avec les nouvelles autorités en vue de mettre en place les procédures et mécanismes de mise en œuvre de ce principe dont la finalité est de contribuer à éviter les pertes en vie humaine, en biens publics et privés, et surtout la dégradation de l'environnement qui est l'un des biens le plus cher actuellement », lit-on.
De plus, la RADDHO en appelle à toutes les Sénégalaises et à tous les Sénégalais à la « manifestation effective de la solidarité nationale envers les populations sinistrées par ces inondations ».
Dans un communiqué, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) appelle les « autorités sénégalaises à intégrer le principe de précaution dans la gestion des hivernages afin d'éviter de futures catastrophes ».
Tout en saluant les efforts consentis par l'Etat, et qui devraient être consolidés du fait des effets à venir sur les systèmes éducatif et sanitaire des régions affectées, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) demandent aux autorités sénégalaises de faire, dorénavant, du principe de précaution, un outil central dans la gestion des hivernages.
La RADDHO rappelle également que des prévisions saisonnières avaient averti des risques d'inondations.
« Le Forum 2024 des prévisions saisonnières pour les zones soudanienne et sahélienne de l'Afrique de l'Ouest et du Tchad (PRESASS 2024) avait insisté, dès le 26 avril 2024, sur les risques élevés d'inondation pouvant entrainer des pertes agricoles, de biens matériels et en vies animales et humaines dans la région », peut-on lire dans le communiqué.
Toutefois, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme appelle à renforcer les infrastructures et sensibiliser les communautés pour prévenir de tels désastres.
« La RADDHO demande à toutes les organisations de la société civile de travailler avec les nouvelles autorités en vue de mettre en place les procédures et mécanismes de mise en œuvre de ce principe dont la finalité est de contribuer à éviter les pertes en vie humaine, en biens publics et privés, et surtout la dégradation de l'environnement qui est l'un des biens le plus cher actuellement », lit-on.
De plus, la RADDHO en appelle à toutes les Sénégalaises et à tous les Sénégalais à la « manifestation effective de la solidarité nationale envers les populations sinistrées par ces inondations ».