Trois camions citernes sont stationnés dans une sorte de «bassin de rétention» au milieu de la chaussée. Trois agents avec de grosses bottes (aux pieds) et des gants en main pataugeant dans ce «lacs artificiels», tenant de gros tuyaux-collecteurs qui relient chacun des camions aux eaux stagnantes. Les moteurs tournent pour absorber ces eaux et libérer la circulation. Deux autres camions hydrocureurs attendent leur tour à un peu plus d’une dizaine de mètres de là. Des automobilistes avancent lentement dans les eaux entres ces camions citernes. Nous sommes à hauteur de l’agence des impôts et domaines de Guédiawaye située à Golf-Sud.
A l’image de cette partie de la route de Niaye, tous les points bas ou presque des différents axes de la banlieue les plus usités bénéficient d’un dispositif pour pomper les eaux stagnantes après des pluies diluviennes. Et, suite aux importantes précipitations enregistrées en Banlieue dakaroise la nuit d’avant-hier mardi 21 et ce jusqu’à l’aube du mercredi 22 août, ces camions hydrocureurs prépositionnés à différents points sont entrés en action pour pomper les eaux stagnantes en vue de parer à tout désagrément.
De Keur Massar à Guédiawaye en passant par Pikine, la zone des Niayes, le constat est partout le même. Pendant qu’un ou deux camions, s’activent aux milieux des «lacs artificiels» créés au niveau de ces points-bas, d’autres sont stationnés à quelques mètres. Ils rentrent en action aussitôt après que les premiers remplissent leurs citernes. C’est pour éviter les mêmes contrecoups de la dernière fois que les autorités, étatiques de concert avec les différentes mairies, ont maintenu le dispositif de «veille et d’alerte» mis en place le mardi 14 août dernier pour libérer la route nationale N°1, les tunnels et autres voies de dégagement de l’emprise des eaux de pluies. Seulement, des maisons sont encore otages des eaux et des occupants essayent, avec des moyens du bord, de se libérer de l’emprise de ces eaux.
Déjà, le Premier ministre Abdoul Mbaye présidant un conseil interministériel sur les inondations le vendredi 17 août dernier, s’est dit satisfait du dispositif mis en place par le gouvernement pour gérer la crise liée à ce phénomène. Il a rassuré que le gouvernement du Sénégal a sécurisé 800 millions de F Cfa pour les besoins futurs, en appoint aux 500 millions déjà dégagés moins d’une semaine avant pour rendre effectif le Plan Organisation des secours (Orsec) si cela est nécessaire.
Avec Sudonline
A l’image de cette partie de la route de Niaye, tous les points bas ou presque des différents axes de la banlieue les plus usités bénéficient d’un dispositif pour pomper les eaux stagnantes après des pluies diluviennes. Et, suite aux importantes précipitations enregistrées en Banlieue dakaroise la nuit d’avant-hier mardi 21 et ce jusqu’à l’aube du mercredi 22 août, ces camions hydrocureurs prépositionnés à différents points sont entrés en action pour pomper les eaux stagnantes en vue de parer à tout désagrément.
De Keur Massar à Guédiawaye en passant par Pikine, la zone des Niayes, le constat est partout le même. Pendant qu’un ou deux camions, s’activent aux milieux des «lacs artificiels» créés au niveau de ces points-bas, d’autres sont stationnés à quelques mètres. Ils rentrent en action aussitôt après que les premiers remplissent leurs citernes. C’est pour éviter les mêmes contrecoups de la dernière fois que les autorités, étatiques de concert avec les différentes mairies, ont maintenu le dispositif de «veille et d’alerte» mis en place le mardi 14 août dernier pour libérer la route nationale N°1, les tunnels et autres voies de dégagement de l’emprise des eaux de pluies. Seulement, des maisons sont encore otages des eaux et des occupants essayent, avec des moyens du bord, de se libérer de l’emprise de ces eaux.
Déjà, le Premier ministre Abdoul Mbaye présidant un conseil interministériel sur les inondations le vendredi 17 août dernier, s’est dit satisfait du dispositif mis en place par le gouvernement pour gérer la crise liée à ce phénomène. Il a rassuré que le gouvernement du Sénégal a sécurisé 800 millions de F Cfa pour les besoins futurs, en appoint aux 500 millions déjà dégagés moins d’une semaine avant pour rendre effectif le Plan Organisation des secours (Orsec) si cela est nécessaire.
Avec Sudonline