Une délégation, constituée de membres du Noyau dure du mouvement Y en a marre, va se rendre ce mardi 16 août 2011 auprès du ministre chargé des élections, pour réclamer un nouveau report de la date butoir des inscriptions sur les listes électorales.
En effet, réuni en Assemblée Générale ce dimanche 14 août 2011, le mouvement Y’en a Marre
s’est arrêté sur l’état des inscriptions sur les listes électorales dans le cadre de son programme Dass Fanaanal : «Ma carte mon arme». Selon le communiqué reçu à la rédaction de pressafrik.com, des échanges avec les représentants des «Esprits» Y’en a Marre, il est ressorti qu’à quelques heures de la date de clôture des listes, les autorités éprouvent encore des difficultés à gérer la forte affluence de citoyens, notamment jeunes, désireux de s’acquitter de leur devoir civique.
Les membres du mouvement Y en a marre ont indiqué que «dans les différents sites d’inscription, les files d'attente se sont allongés au fil des jours. Selon les rapports de nos superviseurs, le dispositif mis en place par les autorités n’a pu satisfaire la forte demande journalière. A la date d’aujourd’hui, plusieurs milliers de citoyens restent à quai, malgré une volonté forte, traduite par leur présence massive aux lieux d’inscription». Une telle situation, disent-ils, «prive une bonne partie de la population d’accomplir son droit civique et d’exprimer son opinion au scrutin du 26 février 2012».
En effet, réuni en Assemblée Générale ce dimanche 14 août 2011, le mouvement Y’en a Marre
s’est arrêté sur l’état des inscriptions sur les listes électorales dans le cadre de son programme Dass Fanaanal : «Ma carte mon arme». Selon le communiqué reçu à la rédaction de pressafrik.com, des échanges avec les représentants des «Esprits» Y’en a Marre, il est ressorti qu’à quelques heures de la date de clôture des listes, les autorités éprouvent encore des difficultés à gérer la forte affluence de citoyens, notamment jeunes, désireux de s’acquitter de leur devoir civique.
Les membres du mouvement Y en a marre ont indiqué que «dans les différents sites d’inscription, les files d'attente se sont allongés au fil des jours. Selon les rapports de nos superviseurs, le dispositif mis en place par les autorités n’a pu satisfaire la forte demande journalière. A la date d’aujourd’hui, plusieurs milliers de citoyens restent à quai, malgré une volonté forte, traduite par leur présence massive aux lieux d’inscription». Une telle situation, disent-ils, «prive une bonne partie de la population d’accomplir son droit civique et d’exprimer son opinion au scrutin du 26 février 2012».