La révision exceptionnelle des listes électorales en vue des élections législatives du 31 juillet 2022 a commencé le lundi 7 mars pour prendre fin le 31 du même mois. Jusque-là, il n’ y a toujours pas de rush dans les commissions d’inscriptions. C’est le constat à la Sous-préfecture de Grand Dakar où PressAfrik a effectué un tour.
« L’inscription se passe très bien. Mais pour l’instant, il n’y a pas eu trop de rush. Les gens viennent petit à petit. Vous savez les Sénégalais aiment la dernière minute pour venir se bousculer. Ce retard peut être dû aux révisions passées. Car il n’y a pas eu un grand décalage. Les gens viennent surtout de les jeunes, les nouvelles inscris appelés primo votant. Nous avons plus de primo votant que de modification pour l’instant. La semaine dernière du lundi 7 au jeudi 10 mars 2022, nous avons fait 42 inscriptions et 13 modifications », a déclaré Madame Ngome, Présidente de la Commission Sicap Liberté à la sous-préfecture de Grand Dakar.
Parlant des radiations, elle précise : « Pour le moment, il n’y a pas eu de radiation. Seulement les étrangers. Ceux qui votaient à l’extérieur et qui reviennent pour voter ici, il y a une fiche pour les radier de là-bas avant de les noter ici comme nouveau inscrit. Pour les gens qui veulent faire la modification, s’ils n’ont pas l’adresse de la Sicap sur la pièce d’identité, ils amènent un certificat de résidence signé à la mairie et une photocopie de la pièce d’identité ».
des cartes en souffrance
Elle a aussi noté pour les révisions de 2017, au moins 622 cartes n’ont pas été récupérées. « Pour les gens qui n’ont pas encore retiré les cartes des locales passées, nous leur demandons de venir récupérer leur carte. Il y a des cartes depuis 2017 qui sont toujours là. Elles n’ont pas été retirées. Pour les révisions de 2017, il y a 622 cartes non récupérées. Et 200 cartes non récupérées pour les révisions des élections locales passées », dit-elle.
Au niveau de la Sous-préfecture de Grand Dakar, toujours, la Présidente de la Commission de Grand Dakar, Fatou Mata Ndiaye ne dira pas le contraire. Selon elle jusque là, c’est le même rythme. « Les gens viennent petit à petit. Il n’y a pas de rush », a-t-elle informé. Avant de préciser que, « chaque jour, elles peuvent inscrire 30 voir 50 personnes ».
Rencontré sur place, Matar Ndiaga Diop, est venu accomplir son devoir citoyen. Nouvellement déménagé à Saint Louis, il soutient que c’est un devoir pour chaque citoyen de s’inscrire. « Je pense que c’est un devoir citoyen pour tout Sénégalais, de venir s’inscrire sur les listes électorales. Surtout que plus de 60 % sont les moyens de 18 ans. Donc c’est pourquoi je suis venu m’inscrire pour pouvoir voter comme tout Sénégalais pendant les élections », note M. Diop.
« L’inscription se passe très bien. Mais pour l’instant, il n’y a pas eu trop de rush. Les gens viennent petit à petit. Vous savez les Sénégalais aiment la dernière minute pour venir se bousculer. Ce retard peut être dû aux révisions passées. Car il n’y a pas eu un grand décalage. Les gens viennent surtout de les jeunes, les nouvelles inscris appelés primo votant. Nous avons plus de primo votant que de modification pour l’instant. La semaine dernière du lundi 7 au jeudi 10 mars 2022, nous avons fait 42 inscriptions et 13 modifications », a déclaré Madame Ngome, Présidente de la Commission Sicap Liberté à la sous-préfecture de Grand Dakar.
Parlant des radiations, elle précise : « Pour le moment, il n’y a pas eu de radiation. Seulement les étrangers. Ceux qui votaient à l’extérieur et qui reviennent pour voter ici, il y a une fiche pour les radier de là-bas avant de les noter ici comme nouveau inscrit. Pour les gens qui veulent faire la modification, s’ils n’ont pas l’adresse de la Sicap sur la pièce d’identité, ils amènent un certificat de résidence signé à la mairie et une photocopie de la pièce d’identité ».
des cartes en souffrance
Elle a aussi noté pour les révisions de 2017, au moins 622 cartes n’ont pas été récupérées. « Pour les gens qui n’ont pas encore retiré les cartes des locales passées, nous leur demandons de venir récupérer leur carte. Il y a des cartes depuis 2017 qui sont toujours là. Elles n’ont pas été retirées. Pour les révisions de 2017, il y a 622 cartes non récupérées. Et 200 cartes non récupérées pour les révisions des élections locales passées », dit-elle.
Au niveau de la Sous-préfecture de Grand Dakar, toujours, la Présidente de la Commission de Grand Dakar, Fatou Mata Ndiaye ne dira pas le contraire. Selon elle jusque là, c’est le même rythme. « Les gens viennent petit à petit. Il n’y a pas de rush », a-t-elle informé. Avant de préciser que, « chaque jour, elles peuvent inscrire 30 voir 50 personnes ».
Rencontré sur place, Matar Ndiaga Diop, est venu accomplir son devoir citoyen. Nouvellement déménagé à Saint Louis, il soutient que c’est un devoir pour chaque citoyen de s’inscrire. « Je pense que c’est un devoir citoyen pour tout Sénégalais, de venir s’inscrire sur les listes électorales. Surtout que plus de 60 % sont les moyens de 18 ans. Donc c’est pourquoi je suis venu m’inscrire pour pouvoir voter comme tout Sénégalais pendant les élections », note M. Diop.