La gestion des déchets plastique dans la ville de sainte Touba reste problématique en raison d’une insuffisance de moyens humains et financiers. C’est pourquoi le recyclage est considéré comme une alternative durable à l’élimination par incinération ou le stockage illégal des déchets très impactant sur la santé des populations, l’environnement et le cadre de vie.
Le ministre de l’Urbanisme, du logement et de l’hygiène publique a procédé, hier-lundi, à Touba, à l’installation officielle du Centre de regroupement et de commercialisation des déchets. Abdoulaye Seydou Sow a rappelé que le Président Macky Sall avait initié un «ambitieux programme» dénommé ‘’Sénégal, Zéro déchets’’ lors de l’élection présidentielle de 2019, prônant «des villes propres et des villes vertes».
Selon lui, cette unité pilote permettra d’une part de tester le développement de l’économie circulaire autour des déchets plastiques dans la ville de Touba et d’autre part, d’expérimenter le tri à domicile mais surtout d’organiser et de former les acteurs, notamment les récupérateurs et les charretiers.
«A Touba, plus de 24 tonnes sont générées quotidiennement. Ce qui permettra de réduire le péril plastique, et de générer des revenus et des emplois verts pour la commune», a ajouté le ministre. La ville de Touba a été choisie pour abriter cette première phase pilote, parce qu’elle est «la deuxième ville en termes économiques et démographiques, après Dakar, mais aussi pour un souci d’équilibre». Cette phase pilote a nécessité un financement de 2 millions de dollars (environ 1 milliard de francs CFA), exclusivement pris en charge par le partenaire financier, en l’occurrence le Grand Duché de Luxembourg. «24 000 kilos de déchets sont produits chaque jour.
L’expérimentation à Touba, en tant que ville pilote est une grande satisfaction», a dit le représentant de l’ambassadeur, dans les colonnes du journal Bes Bi. Cette unité, selon les autorités, va aussi permettre la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la création d’emploi à travers un modèle d’affaire innovant pour le recyclage et la valorisation et l’amélioration du service gestion des déchets solides. L’unité va précisément générer plus de 40 emplois directs et a une capacité journalière de traitement de 3 tonnes de déchets
Le ministre de l’Urbanisme, du logement et de l’hygiène publique a procédé, hier-lundi, à Touba, à l’installation officielle du Centre de regroupement et de commercialisation des déchets. Abdoulaye Seydou Sow a rappelé que le Président Macky Sall avait initié un «ambitieux programme» dénommé ‘’Sénégal, Zéro déchets’’ lors de l’élection présidentielle de 2019, prônant «des villes propres et des villes vertes».
Selon lui, cette unité pilote permettra d’une part de tester le développement de l’économie circulaire autour des déchets plastiques dans la ville de Touba et d’autre part, d’expérimenter le tri à domicile mais surtout d’organiser et de former les acteurs, notamment les récupérateurs et les charretiers.
«A Touba, plus de 24 tonnes sont générées quotidiennement. Ce qui permettra de réduire le péril plastique, et de générer des revenus et des emplois verts pour la commune», a ajouté le ministre. La ville de Touba a été choisie pour abriter cette première phase pilote, parce qu’elle est «la deuxième ville en termes économiques et démographiques, après Dakar, mais aussi pour un souci d’équilibre». Cette phase pilote a nécessité un financement de 2 millions de dollars (environ 1 milliard de francs CFA), exclusivement pris en charge par le partenaire financier, en l’occurrence le Grand Duché de Luxembourg. «24 000 kilos de déchets sont produits chaque jour.
L’expérimentation à Touba, en tant que ville pilote est une grande satisfaction», a dit le représentant de l’ambassadeur, dans les colonnes du journal Bes Bi. Cette unité, selon les autorités, va aussi permettre la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la création d’emploi à travers un modèle d’affaire innovant pour le recyclage et la valorisation et l’amélioration du service gestion des déchets solides. L’unité va précisément générer plus de 40 emplois directs et a une capacité journalière de traitement de 3 tonnes de déchets