La sociologue Fatou Sow Sarr approuve l’idée de l’interdiction du port du voile intégral appelé la burka.
Toutefois, la sociologue, très engagée sur les questions de genre estime que le plus importants c’est le travail de conscientisation que les autorités et la société doivent faire auprès des porteuses de la burka
« Je suis pour l’interdiction de la Burka », a déclaré la directrice du laboratoire genre et recherche au cours de l’émission « Grand jury » de la RFM.
D’après la sociologue, « lorsqu’un port vestimentaire peut constituer une entrave à la sécurité du pays, il faut l’interdire ».
Cependant, pour Mme Fatou Sow, la question de l’interdiction est moins importante car les gens ont la liberté de s’habiller comme ils veulent et on assisterait à un totalitarisme en procédant à une interdiction.
Foncièrement contre l’idée d’un vote d’une loi pour l’interdiction de la burka, la sociologue est convaincue que le travail de conscientisation est plus important que la mise en place des mesures coercitives. « Il faut aller auprès de ces femmes et leur demander pourquoi elles mettent la Burka car toutes les femmes qui la mettent ne sont pas des terroristes », a-t-elle suggéré.
Toutefois, la sociologue, très engagée sur les questions de genre estime que le plus importants c’est le travail de conscientisation que les autorités et la société doivent faire auprès des porteuses de la burka
« Je suis pour l’interdiction de la Burka », a déclaré la directrice du laboratoire genre et recherche au cours de l’émission « Grand jury » de la RFM.
D’après la sociologue, « lorsqu’un port vestimentaire peut constituer une entrave à la sécurité du pays, il faut l’interdire ».
Cependant, pour Mme Fatou Sow, la question de l’interdiction est moins importante car les gens ont la liberté de s’habiller comme ils veulent et on assisterait à un totalitarisme en procédant à une interdiction.
Foncièrement contre l’idée d’un vote d’une loi pour l’interdiction de la burka, la sociologue est convaincue que le travail de conscientisation est plus important que la mise en place des mesures coercitives. « Il faut aller auprès de ces femmes et leur demander pourquoi elles mettent la Burka car toutes les femmes qui la mettent ne sont pas des terroristes », a-t-elle suggéré.
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