Les responsables du Syndicat National des Travailleurs de l’Hôtellerie, de la Restauration, des Cafés et Bars du Sénégal (SNTHRCBS) ne sont pas du contents. Ils ont protesté contre l’interdiction de leur marche par le préfet de Dakar. Le secrétaire général du SNTHRCBS a à travers un communiqué, indiqué que «ce n’est pas la première fois que leurs manifestations sont interdites par les autorités». En effet, les travailleurs de l’hôtel indépendance avec le soutien du SNTHRCBS avaient décidé de faire une marche ce jeudi 25 juin pour réclamer les arriérés de salaires.
«Trop, c'est trop!», ont martelé les camarades d’El Hadji Ndiaye en réaction aux multiples
interdictions de leurs différentes manifestations par les autorités. «Nous ne pourrions rester éternellement les bras croisés. Le SNTHRCBS entend exprimer ses droits comme le lui autorise la Constitution», ont-ils fait savoir. Par conséquent, le SNTHRCBS ne saurait, selon El Hadji Ndiaye, tolérer que ceux-ci soient constamment bafoués.
Le secrétaire général du syndicat est revenu sur le sit-in qu’ils ont récemment organisé et qui a été interdit. Il a expliqué que les travailleurs de l'hôtel Indépendance sont restés plusieurs mois sans salaires et qu’ils vivent une situation pénible. Ils ont voulu, de son avis, à travers leur marche sensibiliser l'opinion sur leur sort et alerter les autorités.
Ce n’est pas la première fois que les travailleurs de l’hôtellerie ont été interdits de manifester leur courroux. Selon leur secrétaire général : «ce n'est pas la première fois que ses manifestations sont interdites par les autorités. En 2005, face aux autorités qui faisaient la sourde oreille en tentant d'ignorer les préoccupations ainsi que les revendications des travailleurs du secteur, le SNTHRCBS avait voulu faire une marche nationale. Mais elle a été interdite», a rappelé El Hadj Ndiaye.
«Trop, c'est trop!», ont martelé les camarades d’El Hadji Ndiaye en réaction aux multiples
interdictions de leurs différentes manifestations par les autorités. «Nous ne pourrions rester éternellement les bras croisés. Le SNTHRCBS entend exprimer ses droits comme le lui autorise la Constitution», ont-ils fait savoir. Par conséquent, le SNTHRCBS ne saurait, selon El Hadji Ndiaye, tolérer que ceux-ci soient constamment bafoués.
Le secrétaire général du syndicat est revenu sur le sit-in qu’ils ont récemment organisé et qui a été interdit. Il a expliqué que les travailleurs de l'hôtel Indépendance sont restés plusieurs mois sans salaires et qu’ils vivent une situation pénible. Ils ont voulu, de son avis, à travers leur marche sensibiliser l'opinion sur leur sort et alerter les autorités.
Ce n’est pas la première fois que les travailleurs de l’hôtellerie ont été interdits de manifester leur courroux. Selon leur secrétaire général : «ce n'est pas la première fois que ses manifestations sont interdites par les autorités. En 2005, face aux autorités qui faisaient la sourde oreille en tentant d'ignorer les préoccupations ainsi que les revendications des travailleurs du secteur, le SNTHRCBS avait voulu faire une marche nationale. Mais elle a été interdite», a rappelé El Hadj Ndiaye.