Me Aîssata Tall Sall a craché ses vérités sur le parrainage. Imputant ainsi la responsabilité de ce qui leur est arrivé aux acteurs politiques de tous bords.
Pour la présidente du mouvement « Osez l’avenir », il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures. Si la plupart des candidats à la présidentielle ont eu la surprise de leur vie, avec l’invalidation de leur dossiers de parrainages, c’est parce qu’ils sont allés à l’aveuglette. « Ce qui s’est passé à l’occasion de cette élection présidentielle nous a profondément secoués. Mais auparavant, nous avons manqué de cadre de discussion et de cadre de concertation », note d’emblée Me Tall, intervenant mercredi au Forum citoyen organisé par la fondation Africajom Center.
La maire de Podor d'expliquer : "Comment ça se fait que nous puissions aller au Conseil constitutionnel, sans qu’aucun des candidats qui a déposé son dossier ne maîtrise, ne serait–ce que le logiciel mis en place, pour accepter ou rejeter le parrainage ? Mais est ce que nous-mêmes, nous y avions pensé ? Est ce que nous –mêmes, nous y avions réfléchi ?", s'est interrogé le leader du parti « Osez l’avenir » avant d'affirmer que "si la faute existe, elle est partagée".
Pour la présidente du mouvement « Osez l’avenir », il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures. Si la plupart des candidats à la présidentielle ont eu la surprise de leur vie, avec l’invalidation de leur dossiers de parrainages, c’est parce qu’ils sont allés à l’aveuglette. « Ce qui s’est passé à l’occasion de cette élection présidentielle nous a profondément secoués. Mais auparavant, nous avons manqué de cadre de discussion et de cadre de concertation », note d’emblée Me Tall, intervenant mercredi au Forum citoyen organisé par la fondation Africajom Center.
La maire de Podor d'expliquer : "Comment ça se fait que nous puissions aller au Conseil constitutionnel, sans qu’aucun des candidats qui a déposé son dossier ne maîtrise, ne serait–ce que le logiciel mis en place, pour accepter ou rejeter le parrainage ? Mais est ce que nous-mêmes, nous y avions pensé ? Est ce que nous –mêmes, nous y avions réfléchi ?", s'est interrogé le leader du parti « Osez l’avenir » avant d'affirmer que "si la faute existe, elle est partagée".