Depuis la publication des listes électorales, des voix discordantes se font entendre au sein de la mouvance présidentielle s’en prenant au président de cette entité, par ailleurs chef de file de l’Apr, Macky Sall. Et pour cause, bénéficiant de la carte blanche que lui ont donnée ses alliés, il en a profité pour s’assurer d’une majorité confortable de la couleur marron si BBY remporte les élections législatives du 30 juillet prochain.
Ainsi, informe l’Observateur, 60% des investis sur la listes, nationale et départementale, vont revenir à l’Apr. Soit 115 sièges sur les 150 noms qui figurent sur lesdites listes laissant à ses alliés les 35 places restantes.
Cette situation a soulevé l’ire de certains cadors de la coalition présidentielle qui n’ont pas hésité, par lieutenants interposés, à tirer à boulets rouges sur Le Président Sall. C’est ainsi que les socialistes de Saint-Louis ont demandé à leur direction de quitter BBY, là où les partisans de Moustapha Niasse crient à la tromperie, quant aux partisans de Djibo Leyti Ka, ils ont accusé le chef de l’Etat de «haute trahison».
Mais, le chef de l'Etat compte, pour étouffer cette rébellion laisser à leur place les chefs de files des partis alliés, en permettant à Moustapha Niasse de rester à la tête de l'Assemblée nationale, Ousmane Tanor Dieng dirigera toujours le Haut conseil des collectivités territoriales et Djibo Ka va rester à la tête de la Commission nationale du dialogue des territoires.
Ainsi, informe l’Observateur, 60% des investis sur la listes, nationale et départementale, vont revenir à l’Apr. Soit 115 sièges sur les 150 noms qui figurent sur lesdites listes laissant à ses alliés les 35 places restantes.
Cette situation a soulevé l’ire de certains cadors de la coalition présidentielle qui n’ont pas hésité, par lieutenants interposés, à tirer à boulets rouges sur Le Président Sall. C’est ainsi que les socialistes de Saint-Louis ont demandé à leur direction de quitter BBY, là où les partisans de Moustapha Niasse crient à la tromperie, quant aux partisans de Djibo Leyti Ka, ils ont accusé le chef de l’Etat de «haute trahison».
Mais, le chef de l'Etat compte, pour étouffer cette rébellion laisser à leur place les chefs de files des partis alliés, en permettant à Moustapha Niasse de rester à la tête de l'Assemblée nationale, Ousmane Tanor Dieng dirigera toujours le Haut conseil des collectivités territoriales et Djibo Ka va rester à la tête de la Commission nationale du dialogue des territoires.