Ce sont au total près d’une trentaine d’attaques qui ont secoué différentes villes en Irak, de Bagdad à la ville riche en pétrole et tant disputée de Kirkouk, en passant par les bastions sunnites de Samarra et de Baquba.
Les assaillants n’ont pas lésiné sur les moyens : voitures piégées, engins explosifs déposés aux bords des routes, attaques-suicide; tous les moyens connus des services de sécurité ont été déployés. Avec pour objectif commun de viser la population civile ou les représentants des forces de l’ordre irakiennes.
Une série d’attentats qui survient alors que la crise politique semble atteindre son paroxysme. Si les tensions entre la minorité sunnite et le gouvernement chiite se ne se sont jamais vraiment apaisées, plus récemment ce sont les représentants kurdes qui ont fait part de leur mécontentement.
Après le vice-Premier ministre Salah el-Mutlaq, le président de l’autonomie du Kurdistan, Massoud Barzani, a également mis en garde contre ce qu’il qualifie de « dérives autoritaires de Nouri al-Maliki ».
Seize mois après la formation du gouvernement, le Premier ministre irakien refuse toujours de nommer les principaux ministres en charge de la Sécurité. Une situation qui reflète, selon les partis de l’opposition, une certaine méfiance d’une majorité chiite bien décidée à garder le pouvoir.
RFI
Les assaillants n’ont pas lésiné sur les moyens : voitures piégées, engins explosifs déposés aux bords des routes, attaques-suicide; tous les moyens connus des services de sécurité ont été déployés. Avec pour objectif commun de viser la population civile ou les représentants des forces de l’ordre irakiennes.
Une série d’attentats qui survient alors que la crise politique semble atteindre son paroxysme. Si les tensions entre la minorité sunnite et le gouvernement chiite se ne se sont jamais vraiment apaisées, plus récemment ce sont les représentants kurdes qui ont fait part de leur mécontentement.
Après le vice-Premier ministre Salah el-Mutlaq, le président de l’autonomie du Kurdistan, Massoud Barzani, a également mis en garde contre ce qu’il qualifie de « dérives autoritaires de Nouri al-Maliki ».
Seize mois après la formation du gouvernement, le Premier ministre irakien refuse toujours de nommer les principaux ministres en charge de la Sécurité. Une situation qui reflète, selon les partis de l’opposition, une certaine méfiance d’une majorité chiite bien décidée à garder le pouvoir.
RFI