« Macky Sall s’immisce dans la campagne électorale parce que nous sommes dans un régime bi-représentatif où le Président de la République a besoin d’une majorité parlementaire pour constituer le gouvernement et gouverner à l’aise. Donc, il ne peut pas s’bsenter totalement de la campagne électorale », soutient M. Fall dans un entretien accordé au journal « Le Quotidien ».
Un peu plus loin, il ajoute : « A mon avis, le Président Macky Sall est tout à fait fondé de battre campagne pour avoir une majorité à l’Assemblée nationale. Je ne vois pas de problème à ce niveau là ».
« Par contre, il n’a pas le droit de figurer sur les affiches de campagne ou sur le bulletin de vote de sa coalition. Donc, je peux comprendre que le Président de la République prenne part à la campagne électorale, pousse même parfois apparaître aux côtés des candidats qui le soutiennent. Mais c’est clair, le droit constitutionnel Sénégalais, depuis la jurisprudence du Conseil constitutionnel sur l’effigie (de Me Wade en 2001) ne permet pas au Président de figurer sur les documents de propagande électorale ou les bulletins de vote », explique clairement le Pf Ismaïla Madior Fall dans une interview accordée au journal « Le Quotidien ».
Un peu plus loin, il ajoute : « A mon avis, le Président Macky Sall est tout à fait fondé de battre campagne pour avoir une majorité à l’Assemblée nationale. Je ne vois pas de problème à ce niveau là ».
« Par contre, il n’a pas le droit de figurer sur les affiches de campagne ou sur le bulletin de vote de sa coalition. Donc, je peux comprendre que le Président de la République prenne part à la campagne électorale, pousse même parfois apparaître aux côtés des candidats qui le soutiennent. Mais c’est clair, le droit constitutionnel Sénégalais, depuis la jurisprudence du Conseil constitutionnel sur l’effigie (de Me Wade en 2001) ne permet pas au Président de figurer sur les documents de propagande électorale ou les bulletins de vote », explique clairement le Pf Ismaïla Madior Fall dans une interview accordée au journal « Le Quotidien ».