La police israélienne rétropédale et retire les barrières de sécurité installées aux abords de la vieille ville à Jérusalem-Est annexée et occupée. C’est cette décision de restreindre l’accès à cette partie de la vieille ville qui a notamment provoqué des tensions entre Palestiniens et Israéliens. Les autorités israéliennes jouent donc l’apaisement, d’autant que les violences ont gagné la Cisjordanie occupée et Gaza. Ces dernières nuits, plusieurs roquettes ont été tirées depuis cette enclave vers le territoire de l’État hébreu.
C’est l’une des entrées les plus emblématiques de la vieille ville de Jérusalem : la Porte de Damas. Juste en face, une promenade en forme de théâtre romain. C’est à cet endroit que se regroupent traditionnellement les Palestiniens de Jérusalem-Est, et encore plus durant le mois de ramadan. Mais cette année, et sans explication, Israël y installe des barrières de sécurité et interdit aux Palestiniens d’y passer leurs soirées. La situation s’envenime, la lutte s’engage et les violences gagnent très vite le reste des territoires palestiniens.
En Cisjordanie occupée, selon la police israélienne, des manifestants ont attaqué un poste de contrôle, tenu par l’armée de l’État hébreu. Chaque nuit, des roquettes sont tirées depuis la bande de Gaza, en direction d’Israël. Comme souvent, ces tensions sont également alimentées par les réseaux sociaux. Des vidéos diffusées sur internet montrent une séquence présentée comme le passage à tabac d’un jeune Israélien par des manifestants palestiniens. Une autre vidéo, montre cette fois-ci des juifs religieux attaquant à coup de pierres une famille palestinienne.
Avec ce retrait des barrières de sécurité, les autorités israéliennes espèrent mettre un terme aux violences.
C’est l’une des entrées les plus emblématiques de la vieille ville de Jérusalem : la Porte de Damas. Juste en face, une promenade en forme de théâtre romain. C’est à cet endroit que se regroupent traditionnellement les Palestiniens de Jérusalem-Est, et encore plus durant le mois de ramadan. Mais cette année, et sans explication, Israël y installe des barrières de sécurité et interdit aux Palestiniens d’y passer leurs soirées. La situation s’envenime, la lutte s’engage et les violences gagnent très vite le reste des territoires palestiniens.
En Cisjordanie occupée, selon la police israélienne, des manifestants ont attaqué un poste de contrôle, tenu par l’armée de l’État hébreu. Chaque nuit, des roquettes sont tirées depuis la bande de Gaza, en direction d’Israël. Comme souvent, ces tensions sont également alimentées par les réseaux sociaux. Des vidéos diffusées sur internet montrent une séquence présentée comme le passage à tabac d’un jeune Israélien par des manifestants palestiniens. Une autre vidéo, montre cette fois-ci des juifs religieux attaquant à coup de pierres une famille palestinienne.
Avec ce retrait des barrières de sécurité, les autorités israéliennes espèrent mettre un terme aux violences.